Redevance télévisuelle
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
fh,
amour,
mélo,
coupfoudr,
amourpass,
... goutte descendre sensuellement le long de son cou. Elle glisse vers le bas, aidée par les innombrables sursauts du corps sur lequel elle coule, laissant à peine une fine trace humide. Mon amante déchaînée entre et sort, irrésistiblement ; ma bite résiste du mieux qu’elle peut, malmenée dans cet antre chaud et dégoulinant qu’est cette chatte en furie. La goutte poursuit sa descente, elle épouse un sein, s’approche d’une aréole. C’est fascinant, étrange, sensuel. Je serre les dents, mes testicules sont à deux doigts d’exploser tant la tension est forte, furieuse. La goutte contourne le téton, s’accroche aux aspérités de l’aréole puis essaye de continuer sa descente le long du sein convulsé. J’agrippe les bords du matelas, mes doigts serrent le drap, cherchant le rebord du lit, pour mieux résister à cette ambiance de folie, à ce besoin irrépressible d’éclater ! En cet instant, j’ai envie d’exploser, de déflagrer, de la mordre, de la griffer, de la gifler, de la soumettre ! J’ai envie d’arracher sa peau, de déchiqueter ses seins, que son sang jaillisse ! La goutte de sueur arrive à se détacher de l’aréole, elle s’apprête à continuer son chemin. Soudain, Cécile plaque ses mains convulsives sur ses seins, écrasant la goutte, l’anéantissant. Jamais je ne saurai jusqu’où elle aurait plus descendre… Elle écarte un peu plus les jambes comme pour mieux sombrer en moi, ses cris sont étranges, spasmodiques, son ventre se zèbre de contractions, de longs frissons la parcourent, elle se ...
... laisse totalement aller, elle coule dans son plaisir. Soudain, elle serre les doigts, ses ongles rentrent dans la chair tendre de ses seins, elle crie, elle se cabre, la tête au ciel. Je me raidis, les yeux grands ouverts. Abasourdi, je vois alors des traces rouges perler entre ses doigts convulsifs. Elle crie, elle hurle presque, son plaisir est intense, une vibration dans l’air, une lame d’air brûlant. Le sang goutte le long de ses ongles, elle crie toujours, une longue plainte à la fois sensuelle et rageuse. Un fin filet rouge glisse sur un doigt, un autre épouse un premier sein, puis l’autre. Cécile me chevauche toujours, se visse autours de moi, plonge en moi. Sa cavalcade insensée me remue, m’épuise, ma tige malmenée a du mal en suivre le rythme endiablé qu’elle lui impose. C’est de la pure folie, un truc dément, je m’agrippe aux rebords du matelas, fasciné par le sang qui perle de plus en plus entre ses doigts voraces. Soudain, elle s’immobilise, tétanisée. Une longue plainte s’échappe de ses lèvres, un gémissement animal, autre. Je relâche mes doigts, le temps semble figé, nous sommes deux statues rivées, soudées l’un à l’autre, définitivement, éternellement. — Lèche ! Une autre voix, l’autre Cécile parle. Je me redresse, elle saisit sans ménagement ma tête entre ses mains ensanglantées, me plaquant contre sa poitrine. Ma langue caresse ses seins, son sang tout chaud. Je sens sur moi son regard fiévreux. Je lèche ses plaies, je bois son sang rouge, bouillant, onctueux, ...