Redevance télévisuelle
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
fh,
amour,
mélo,
coupfoudr,
amourpass,
... j’en veux encore plus, je la mordille, je presse mes lèvres sur elle pour en obtenir plus, pour la boire, pour vider. Je sais qu’elle sourit… D’autres turpitudes, d’autres ordres, la même folie diffuse… Nos morsures comme pour nous manger, nos insultes comme pour nous abreuver, nos étreintes furieuses, cette atmosphère décadente, déliquescente… Dominante et dominé jusqu’à présent, d’autorité, j’inverse les rôles ; elle se débat, refuse puis se plie à ma volonté. Son regard est noir, le mien est plus sombre encore. Un instant suspendu, à nous affronter. Soudain elle sourit étrangement, elle sent qu’elle aura son plaisir pervers, celui qu’elle aime en final, comme un couronnement. Alors elle cède et moi, je prends ! Sa croupe rebondie est ma sombre exaltation, ma frénésie incongrue mais tellement jouissive ! Mes mains sur ses hanches, mon bas-ventre sur ses fesses, elle à quatre pattes et moi à genoux, j’entre et je sors avec délectation, la dominant, l’assouvissant. Je coulisse sans effort dans sa mouille qui m’englue, entre ses lèvres détrempées. J’admire son mignon postérieur juste sous moi, ses reins creusés, son dos blanc, et les milles secousses qui zèbrent sa peau et son corps. Parfois, lors d’une secousse, j’entraperçois un sein qui ballotte près de son bras. C’est un tantinet vulgaire de voir cette masse un peu flasque s’agiter ainsi, dans une telle position, mais faire l’amour n’est pas forcément une activité de très haute tenue ! Je dirais même que plus c’est un ...
... peu (beaucoup) crapuleux sur les bords, mieux c’est ! Elle se presse contre moi, remue agréablement du popotin, tourbillonnant autour de l’axe que je lui enfonce sans trop de ménagement, tandis que je la maintiens fermement. Là, maintenant, c’est moi qui tiens le manche et qui le lui fais savoir. D’ailleurs, elle ne bronche pas, soumise et même demandeuse… Je me retire momentanément, je me frotte sans vergogne entre ses fesses, juste avant de replonger voluptueusement en elle. C’est follement excitant ! Pourtant ce n’est pas la première fois que je le fais, ça fait même des années que je pratique avec Cécile, mais je ne m’en lasse pas ! Tout comme je ne me lasse pas de lui faire l’amour encore et toujours, sans raison valable, uniquement parce que c’est elle, rien qu’elle. Faut-il une raison ou être fou d’une personne ? Puis je me décide, j’ai le manche maintenant, et j’escompte bien le lui faire sentir ! Alors posément, je me retire lentement, le faisant bien coulisser entre ses lèvres mouillées, puis je saisis le bout de ma barre entre mes doigts et, calmement, méthodiquement, je l’applique dans le creux de la petite cuvette de son anus déjà tout humectée. Elle frémit. Je souris. Fermement calé, je pousse lentement mais sûrement. Sa rondelle s’ouvre petit à petit, l’arrondi de mon gland s’enfonce déjà. De son côté, elle se met en appui sur ses bras, son postérieur bien mis en évidence, m’offrant une voie royale. Sans rémission, je continue ma lente avancée en elle, le gland ...