1. Les Salines


    Datte: 16/11/2018, Catégories: Épouses affectueuses,

    ... étouffé. Mon Paul transpire, et la chaleur n'explique pas tout. Bientôt on nous offre le café, puis du rhum au fond de la tasse encore chaude. Cela m'achève, je suis vannée je crois que je vais m'endormir pour de bon. Je suis réveillée par la fraîcheur des alizées qui se sont levés. Le soleil est nettement plus bas. Je me trompe ou c'est mon Paul qui discute comme cul et chemise (si on peut dire dans cette situation) avec la jolie black dont le mari a mystérieusement disparu. _ On rentre? _ Tu as fait un joli somme dis donc! _ Je crois que ma nage de ce matin m'a épuisée. Il va falloir que je m'entraîne. Par bravade j'enfile ma robe en omettant ma culote qui file dans mon sac. Le manège n'a pas échappé à Paul qui me met la main aux fesses plusieurs fois sur le chemin du retour. Je vais feindre d'ignorer dans cet excès soudain de libido la part qui est due au joli trou rosé de la black. ------------------------------------------------------ _On retourne sur notre plage? Ça a l'air de te réussir on dirait. Je ne sens pas un enthousiasme délirant, mais au moins il n'a pas dit non. Il est vrai que pour une fois cette nuit j'ai pris mon pied sans avoir besoin de faire appel à mes fantasmes, et j'ai senti que lui aussi y trouvait son compte. Je ne suis pas pour autant repue. Maintenant qu'on a éveillé en moi ce désir sexuel j'ai l'impression d'un besoin permanent aussi puissant que la faim ou la soif. Si Paul savait, en me réveillant je suis parti sous la douche et je n'ai pas pu ...
    ... m'empêcher de me caresser en pensant au sexe monstrueux de ce jeune ado. La salope elle est sans doute en train de se caresser sous la douche en pensant aux scènes d'hier. Elle me prend vraiment pour un idiot. J'ai bien vu qu'il y avait des corps qui s'agitaient sur l'ilot et j'ai vite soupçonné le pire. Quand elle est rentrée j'étais prêt à lui faire une scène mais il y avait au moins cinquante personnes autour de nous, ce n'était pas le moment. Ensuite elle s'est endormie. Pour me venger j'ai bien essayé de séduire Isis, potentiellement consentante mais elle m'a expliqué que son mari paraissait comme ça très libéral mais que je devrais surveiller mes arrières jusqu'à mon retour en métropole si jamais on devait s'aventurer derrière les buissons et donc si je devais m'aventurer derrière le sien (de buisson bien entendu) Nous en sommes restés là avec ce désir de l'autre qui montait en nous. Ensuite Laure s'est réveillée, sur le chemin du retour j'ai tenté de lui parler, mais la savoir nue sous sa robe, avec ce désir inassouvi en moi, j'ai craqué et plutôt que de lui faire une scène j'ai passé la main sous sa jupe légère qui virevoltait comme un papillon. J'ai eu le temps de sentir sous mes doigts cet abricot gonflé gorgé de jus. Sans la crainte qu'on nous surprenne je l'aurais prise là sauvagement sur le chemin sans même la honte de mêler ma semence à celle des autres sans plus aucun amour propre. Ensuite la nuit pour boire ma honte jusqu'à la lie, son plaisir comme jamais, ...
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