Les Salines
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
Épouses affectueuses,
... pour la première fois avec moi sans doute. Je ne sais pas jusqu'où j'irais, jusqu'où nous irons. Je ne sais même pas si un « nous » sera encore possible. Comme hier l'anse des salines, il est encore tôt le parking est presque désert. Le chemin qui traverse les buissons, cette plaine avant la mer. Un groupe d'ados est là, le plus grand taillé comme un décathlonien doit avoir une quinzaine d'année alors que le plus petit doit encore être en primaire. _Tu viens, il faut qu'on discute Laure reste là interdite comme si ses jambes soudain refusaient de la porter. Bientôt il la prend par la main, elle suit comme hypnotisée. Je suis en plein cauchemar, je voudrais crier mais une énorme boule dans la gorge m'empêche de le faire. Une angoisse terrible me terrasse à la pensée de ce qui va advenir et que je ne me sens pas capable d'enrayer. Je suis le groupe, on s'éloigne du sentier et de la plage. Ils se dirigent en contrebas vers une terrasse isolée je les laisse et me dirige vers un surplomb qui me permettra d'observer. On pourrait croire à quelque cérémonie secrète : Laure est au centre avec son décathlonien, les enfants disposés en cercle autour d'eux. Il déboutonne délicatement un à un les boutons de sa robe mettant un genou à terre pour les plus bas. C'est elle qui écartera les bretelles de son épaule faisant tomber la robe à ses pieds comme pour affirmer son consentement. Elle est bientôt devant lui juste parée d'un slip de dentelle blanc qu'il fera bientôt descendre le long de ...
... ses jambes. Ensuite il se relève la bascule comme une plume entre ses bras musclés et l'allonge sur le sol. Elle le regarde alors tandis qu'il se défait difficilement de son short, gêné par une monstrueuse érection. Comment un si petit corps peut-il engloutir un tel sexe? Je vois Laure se tendre pour l'accueillir, impatiente. Le cercle des enfants s'est resserré autour d'eux certains se sont déshabillés je ne distingue plus Laure mais je l'entends gémir puis crier d'un cri qui ne saurait être celui de la souffrance. Curieusement je sens que je bande, même mon corps me trahi. Je ne suis plus un homme, je ne suis plus rien, la tête entre les mains je pleure sur ma lâcheté je pleure sur ma honte, je perds la notion du temps. Un cri, un vrai celui-là monte vers moi et me fait ouvrir les yeux. Le plus grand a repris la main, il a disposé Laure en levrette et... mon Dieu il la sodomise je peux le deviner à l'angle de ce sexe monstrueux par rapport à la croupe. Elle hurle sa douleur, mais dix corps la maintienne, cette fois je cours vers eux. Le temps d'arriver et je vois le corps de Laure qui se tend vers l'arrière pour s'empaler plus profondément. Les enfants se sont écartés à mon approche mais arborent un sourire narquois de vainqueurs. Le décathlonien sort enfin du corps de Laure, il me jette un regard dégouté, récupère son short et s'éloigne avec sa bande. Laure s'est affalée vers l'avant, le visage entre les mains le cul encore levé au ciel dans une dernière provocation, du ...