1. Eduction sentimentale


    Datte: 16/11/2018, Catégories: vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme confession,

    ... par ceux qui les voient dénudés, ceux qui les devinent par l’échancrure d’un décolleté ou ceux à qui j’accorde le privilège de les caresser. Ils tiennent bien dans la main… les miennes comme celles de mes partenaires. Pour la branlette espagnole c’est un peu juste peut-être, mais pour la cravate de notaire, cela ne pose aucun problème. Les pointes fines de mes aréoles se dressent effrontément sous l’effet de l’excitation tant physique que mentale et sont sensibles aux doigts ou aux bouches qui s’y aventurent. C’est l’un de mes plus chers attributs et j’en prends un soin immense. J’ai un ventre qui n’est plus aussi plat que lors de ma jeunesse ; j’ai eu deux enfants et même si les vergetures ont disparu, le corps n’en sort jamais indemne. Même en faisant du sport, il est difficile de garder la même plastique qu’une fille tout juste pubère. Ma chatte non rasée, j’en suis toujours aussi fière, je l’entretiens soigneusement en peignant, shampouinant et brossant les poils soyeux. Parfois je la taille, mais jamais plus de quelques coups de ciseaux de-ci, de-là. Mais comme je l’ai indiqué, ma chevelure est presque blonde et les poils de ma pilosité pubienne le sont totalement. Si bien que les poils sont plus clairsemés que chez une brune et plus transparents. Je ne les ai jamais considérés comme une protection, mais plutôt comme un ornement, d’ailleurs tout comme à l’âge de dix-huit ans, ils ne masquent pas grand-chose de mon intimité. Mes fesses se sont arrondies et affermies, ...
    ... quant à mes hanches, elles ont pris du volume et m’apportent un peu plus de sensualité. Aujourd’hui, j’aime mon corps comme il est. Il n’est pas parfait, mais il me plaît. En quinze ans et deux maternités, j’ai pris en beauté. On pourrait penser que je suis exhibitionniste, que j’aime me montrer nue, que chez moi la pudeur n’existe pas. C’est totalement faux. Il est vrai que lorsque je suis sur une plage, je me sens bien, plus dans mon état normal, nue qu’habillée. De même, l’été, il m’est difficile de remettre ces sous-vêtements gênants et peu m’importe que quelques-uns s’en offusquent ou se rincent l’œil. Ce n’est pas du tout le cas, car j’éprouve beaucoup plus de gêne à être en maillot sur une plage « textile » ; car selon moi il y a plus de voyeurs sur ces plages que sur celles des naturistes. Et il faut bien dire que certains maillots ou strings sont bien plus impudiques qu’un corps nu libéré de toutes ses entraves. De même, tout au long de l’année, dans la rue je ne suis jamais en mini-jupe et ne porte pas non plus de décolletés profonds qui montreraient la naissance de ma poitrine : on pourrait me croire prude même, et en quelque sorte je le suis. Pareillement, jamais je n’ai accepté de poser pour les photos dévêtues, alors qu’à certains moments l’apport financier n’aurait pas été superflu. Enfin, si j’assume totalement de fait d’être une vraie naturiste, pure et dure, je ne le clame pas sur tous les toits. Avant de livrer mon mode de vie favori, je tâte le terrain. J’ai ...
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