1. La jalousie serait-elle contre-productive ?


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, Collègues / Travail sauna, essayage, caférestau, telnet, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme massage, lettre, couple,

    ... croient obligés de me draguer aussi ! Plaisanteries qui se veulent subtiles, sous-entendus salaces, etc. J’en souris. Laurent me dit, devant les autres, que je suis encore plus belle qu’avant. En fait, il ne dit pas : belle, il dit : bandante. Tu vois, je ne te cache rien. Alors moi : — Bandante, ah oui ?— In-du-bi-ta-ble-ment ! C’est pour faire rire les autres et ça marche. — Tes seins sont encore plus jolis qu’il y a cinq ans. Ils ont un peu grossi, ça leur va bien. Quant au reste…— Mais tu n’as pas vu mes seins !— Aujourd’hui ? Si ! Avec ton chemisier passablement échancré et ton absence de soutien-gorge, quand tu te penches… Tes fesses aussi semblent avoir forci. Ta jupe est sexy en diable ! L’après-midi, exposé de Grincheux, puis pause. Alex tente sa chance : ai-je quelqu’un dans ma vie, suis-je fidèle ? Oui deux fois. Cependant, une petite exception ne serait-elle pas possible ? J’en souris. Après un trop long message de Dormeur, Simplet nous parle de la conduite à tenir en cas d’occupation des locaux par des grévistes. Que faire si l’on est pris (ou prise) en otage ? Syndrome de Stockholm, etc. Au dîner – même table, mêmes voisins,œuf corse – question de Laurent : si j’étais capturée par de jeunes excités, me menaçant des derniers outrages ? — Ah, tu appelles ça des outrages ? Encore une fois, j’ai dû parler trop vite, mille pardons, mon amour ! Ça marche entre Frédéric et Virginie, ils nous quittent juste après le dessert après avoir échangé force langoureux ...
    ... regards. La nuit est déjà tombée, plouf ! Café pour nous ? Café, oui. Ensuite, au bar de l’hôtel, cognac, armagnac, verveine du Velay ? Prunelle pour moi. — T’as de beaux yeux, tu sais ! C’est Alex qui se penche sur moi. Je sais ce qu’il souhaite que je réponde mais je me contente de sourire. Laurent, un peu plus tard : Il ne faut pas qu’elle dorme seule cette nuit, ni les autres nuits. Julien : Nous n’avons aucune chance. Elle a un mec, et elle en est amoureuse. Laurent : Ah, tu le connais ? Julien : Oui. Il est d’ailleurs excessivement jaloux. Et Sophie est fidèle. Enfin, je le crois, et je suis le premier à le déplorer. Laurent : Tiens donc ! Mais un accroc est toujours possible… Hein, Sophie ? Ah, si j’avais été un peu plus audacieux il y a cinq ans ! Alex : Vous êtes de la même promo ? Laurent : Oui. Cinq ans que j’attends mon tour ! Depuis notre bizutage, exactement. Alex : Ah bon, raconte ! Laurent : Oh, rien que de très banal. Tu as connu ça avant nous. Mais il y avait Sophie… Je peux raconter, Sophie ? — Mais si tu veux, Laurent.— Tu étais timide, semblait-il, mais en même temps… intimidante. On savait que tu avais été très brillante en prépa, et on ne te connaissait pas de petit copain. Quelques années auparavant, Ségolène avait tenté d’interdire les bizutages mais les anciens s’en foutaient. Des filles de deuxième année avaient tâté le terrain : ta pudeur, si pudeur il y avait, allait en prendre un coup. Tu avais répondu par un haussement d’épaules. Le jour venu, monôme ...
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