1. La jalousie serait-elle contre-productive ?


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, Collègues / Travail sauna, essayage, caférestau, telnet, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme massage, lettre, couple,

    ... dans les rues en fin d’après-midi, un sac poubelle sur le dos, farine, œufs, moustaches au charbon de bois, etc. On était tous en jean, évidemment mais on s’est nettoyés et changés avant la suite. On nous a triés par groupes de dix. Sept garçons et trois filles dans le nôtre. Dans l’amphi, les deuxième et troisième années étaient au spectacle, les filles encore plus excitées que les garçons : — À poil, à poil ! Une fille de troisième année a ordonné : — Les garçons, en slip ! Nous avons obéi, bien sûr. J’avais un boxer noir, ça ne me gênait pas plus que ça de me montrer avec. Après, les filles en sous-vêtements ! Un strip-tease, les filles ! C’est Amélie qui a commencé, une grande rousse. Elle minaudait, apparemment satisfaite de s’exhiber. Puis ce fut Audrey, bien jolie mais toi seule m’intéressais. Tu étais en jupe. Bleue marine, avec un chemisier beige. Tu t’es déshabillée tout à fait calmement, comme si tu étais toute seule. Naturelle, quoi ! Tu avais un coordonné rouge avec un peu de dentelle noire en haut du soutien-gorge et un papillon noir sur le côté du slip. On m’avait dit que parfois on enfermait les bizuts dans un placard, tout nus, de la peinture jaune sur le corps du garçon, de la peinture bleue sur celui de la fille – ou l’inverse – et, en sortant du placard, il fallait qu’ils soient totalement verts. J’aurais donné n’importe quoi pour être seul avec toi dans ce genre de placard. Mais, comme je viens de le dire, Ségolène était passée par là (pas dans le ...
    ... placard !) et il fallait quand même faire un peu attention. Antoine a demandé aux filles de dire quel était le garçon qui leur semblait le mieux… monté. Il a dit : monté, hein ? — Le plus avantagé par la nature.— Voilà ! Le plus avantagé par la nature. Vous deviez nous jauger par le regard mais, si vous le vouliez, vous pouviez toucher, et cela vous était même vivement conseillé. Amélie riait comme une malade et elle a touché. Ce fut moi le plus « avantagé », pas à cause d’Amélie, ni d’Audrey, à cause de toi. Toi qui n’as rien touché mais qui m’as désigné du menton. Sophie, je peux bien te le dire, je bande encore rien qu’en y pensant. Tu ne veux toujours pas toucher ?— Toujours pas.— J’en suis désolé ! Nous, nous devions désigner, justement, laquelle de vous était la plus bandante. Là, c’est bien le terme, hein ?— Oui, bandante.— Ce fut toi, bien sûr. Antoine a décrété que la fille la plus bandante devait montrer si elle savait tailler une pipe. Il a sorti une grosse carotte de son sac et il est monté sur l’estrade, la carotte plaquée horizontalement contre sa braguette. Il a hurlé : à genoux, femme ! Tu lui as lancé un regard de pitié méprisante, comme tu savais si bien le faire, mais tu t’es accroupie, tu as ouvert la bouche et d’un coup de dents, hop, tu as tranché le bout de la carotte et tu l’as recraché entre ses jambes ! Ce fut un éclat de rire général. Pour ne pas perdre la face, Antoine t’a traitée de castratrice et a prophétisé que tu ne tarderais pas à rencontrer un mec ...
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