On ne sait pas où l'on va, des fois, en courant
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
fhh,
copains,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
massage,
Oral
pénétratio,
regrets,
cocucont,
... un peu plus fort ses mains. J’aurais voulu que ça dure toute la vie, profiter. Et simultanément j’aurais voulu qu’elle arrête pour que je puisse aller me branler. J’étais tellement dur… Ses mouvements de glissement sur mon boxer ne pouvaient pas être fortuits. Elle savait bien que je bandais comme un âne. Puis ses mains ont ralenti, progressivement, jusqu’à s’arrêter, posées sur mes épaules. Elle a pris appui pour bouger uniquement son bassin, l’avancer et le reculer en ciblant précisément là où j’avais mal tellement elle me faisait du bien. Elle me massait clairement la queue avec son vagin, à travers mon boxer. Elle m’a vite mis au taquet. J’ai bien cru que j’allais jouir, tellement elle y mettait de l’ardeur. Plus aucun doute. Non seulement Mick n’en éprouvait aucune gêne, mais j’ai compris qu’en réalité il était venu voir sa femme se déchaîner sur moi, et qu’il aimait ça. Ou qu’en tout cas il la laissait faire. — Et ça, tu aimes ?— J’adore…— Vraiment ?— Oui, vraiment.— Alors pourquoi tu ne fais rien ?— Comment ça ?— Tu n’as pas envie de me caresser ?— Euh…— Tu as envie ou pas ? Elle n’a pas attendu ma réponse. Elle s’est redressée pour me prendre les mains et les diriger vers ses jambes, m’invitant à la caresser. Puis elle a tiré son tee-shirt par-dessus sa tête. Je découvrais enfin mon béguin de fac nue. Quelle beauté, quelle grâce ! Mes mains sont parties à l’aventure, touchant et palpant ce que je pouvais, jusqu’à arriver à ses fesses rebondies. Sa peau était douce, ...
... fine, chaude. Elle continuait de bouger sur mon boxer, plus lentement. Elle a attrapé à nouveau mes mains pour les poser sur ses seins, durs, perchés haut, dont les tétons pointaient fièrement. J’ai entrepris de les malaxer, de plus en plus fort, et j’ai commencé moi aussi à bouger mon bassin pour accompagner ce simulacre de pénétration. J’ai cru qu’elle cherchait à me faire jouir et, après tout, ça n’aurait pas été si désagréable. J’étais proche de l’extase quand elle s’est soudain arrêtée et qu’elle a collé sa bouche sur la mienne. Comme un alcool très fort et très sucré, sa salive m’a tétanisé. Mon corps s’est embrasé dans une sensation de chaleur immense. La sueur m’est venue brutalement, comme si je me vidais par les pores de la peau. Une main s’est insinuée dans mon boxer, saisissant mon sexe, enfin. J’ai compris que nous allions enfin faire l’amour, même si ce serait devant son mari, mon ami. Son absence de réaction confirmait bien qu’il allait laisser faire. Elle m’a léché le visage, avide et excitée comme une puce. Puis je l’ai sentie reculer, descendre le long de mon corps, parcourant de sa langue le tour de mes tétons, puis mon nombril. Ses mains se sont activées pour faire disparaître mon boxer. Sa bouche a recouvert mon gland, et j’ai eu droit à cette pipe dont j’avais tant rêvé. J’imaginais bien qu’elle devait aimer le sexe, mais pas à ce point. Une furie. À genoux entre mes cuisses, elle m’a tiré sur les genoux pour que je les remonte, puis m’a collé un oreiller ...