1. On ne sait pas où l'on va, des fois, en courant


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fhh, copains, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, Oral pénétratio, regrets, cocucont,

    ... sous le dos pour me surélever. Ses doigts sont venus me titiller l’anus pendant qu’elle me suçait avec application. Je pensais avoir atteint le maximum de mes sensations grâce à ces caresses expertes, mais quand j’ai senti sa langue entre mes fesses alors qu’une main avait remplacé sa bouche sur ma queue, je me suis dit qu’il n’y avait finalement aucune limite. C’est à ce moment que je me suis mis à parler fort, à éructer, à grogner, à geindre. Il n’y avait plus que nos corps ; le sien, gracile et magnifique, élancé et aimant ; le mien, tendu comme un arc et néanmoins défait de tous ses nœuds. Plusieurs fois elle a lâché mon sexe pour venir glisser son corps contre le mien, frotter ses seins contre mon torse, enfouir sa langue baveuse dans ma bouche. Et elle reprenait sa pipe, pour ensuite me lécher le cul. J’ai cru devenir dingue. Nos sueurs, nos odeurs, nos sens, tout n’était qu’un, extatique, fusionnel. Je devais avoir de la fièvre. Je transpirais davantage qu’en courant, et cette sensation de chaleur, si intense, m’était encore inconnue. Puis j’ai entendu parler. Des voix venues de nulle part, une vibration incompréhensible tellement j’étais enfermé dans ma fusion avec Marie. J’ai quand même compris que Michel, sans doute réveillé par mes borborygmes de malade, était entré dans la chambre. Ils devaient se parler avec Mick devant ce couple en pleine action. Au point où j’en étais, je pouvais bien maintenant me laisser aller et la baiser devant eux. Je me voyais déjà ...
    ... quelques instants plus tard, Marie empalée, lui glisser mon gland bien au fond en lui pétrissant les seins. Je m’y voyais déjà, sauf que j’ai vite compris qu’il me faudrait attendre encore. Marie venait de remonter sur moi pour frotter sa poitrine contre mon sexe douloureux quand j’ai senti son corps poussé vers l’avant, tamponné en quelque sorte. Michel venait de la prendre par les hanches pour la pénétrer. J’ai tourné la tête pour voir Mick, toujours calme, assister à la scène. Sa femme, prise par Michel avec brutalité pendant qu’elle me suçait goulûment. Elle a accéléré sur ma queue en se forçant à entrer mon gland bien au fond de sa gorge. Je n’ai pas résisté au traitement ; j’aurais bien aimé. Mon sperme a jailli, hors de contrôle, m’électrocutant tout le corps. Elle ne m’a pas lâché, flattant mes bourses qui se vidaient dans sa bouche et caressant mon cul. Je n’ai pu qu’assister à la suite, proche du coma. Michel ne s’est pas davantage arrêté. Ses yeux puaient la colère quand il lui bourrait la chatte en lui claquant les fesses. Marie l’encourageait par des « Oui, encore… », « Plus fort ! », « J’aime ça… », « Je vais jouiiiir… » Il a craché son foutre, comme un porc, démontant la jolie Marie comme une catin. Elle s’est affalée sur moi de tout son poids. Elle puait le sperme et la sueur. Aucune attention pour moi, je n’étais à ce moment qu’un matelas, un support. Tout a basculé en un instant, celui de son extase. Elle s’est reposée quelques minutes avant de se lever, ...