1. On ne sait pas où l'on va, des fois, en courant


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fhh, copains, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, Oral pénétratio, regrets, cocucont,

    ... veux, qu’elle m’a vu. Elle s’est fait jouir en me regardant dans les yeux.— Tu plaisantes…— Pas du tout. Quelle salope !— Et tu n’as rien fait ?— Rien de rien. Je suis resté tétanisé. J’en revenais pas. Et tu verrais la bombe que c’est, bordel ! Une paire de nichons à mourir, et un de ces petits culs !— Toujours aussi romantique… T’as fait quoi alors ?— Bah rien. J’étais trop gêné. Je me suis éclipsé. J’ai oublié mon envie de pisser. Et je vais pas te raconter comment j’ai fait baisser ma pression interne… Il m’avait ému avec ses conneries. Mais je n’ai pas eu le temps de poser d’autres questions. Mick est sorti de la douche. C’était mon tour. Avec Michel on est allé faire un petit tour à pied. Quand on est rentré, on avait un petit mot sur la table. Ils étaient partis faire les magasins et rentreraient plus tard. Nous avons passé la journée affalés à regarder la télé. Juste quelques pâtes trop cuites le midi et une petite sieste à partir de 16 heures, dont j’ai été sorti par la porte d’entrée qui venait de claquer. Mick et Marie rentraient, les mains chargées de paquets. Marie du jour. Jean délavé, pull comme celui que j’enfile pour sortir les poubelles, les cheveux remontés en un chignon désordonné, des baskets élimées. Ça tranchait avec sa tenue de spectacle de la veille. Nous avons partagé un thé à la menthe avant de reprendre notre activité préférée : ne rien faire. Avec Mick, nous avons mis au point notre planning pour le lendemain matin. Le départ de la course ...
    ... étant prévu à 8 h 45, il nous fallait nous mettre en route vers 8 heures. Lever à 4 heures pour un petit déj léger et des boissons sucrées. Ensuite on retournerait se coucher pour se relever à 7 heures. Les intestins devraient être chargés de notre repas de la nuit. Passage aux toilettes. Puis viendrait le temps de l’habillage minutieux, notamment du serrage des chaussures. Pommades chauffantes, boisson d’attente, et nous irions vers la bouche du métro en trottinant. Marie a quitté la discussion pour aller, disait-elle, essayer les vêtements qu’elle avait achetés l’après-midi. Nous venions de conclure quand elle est rentrée dans la pièce principale. Le maquillage, pourtant léger, lui avait changé le visage. À moins que ce ne soit cette coiffure. Elle s’était fait une queue-de-cheval assez longue, roulée à l’arrière de la tête, mettant en exergue son cou fin et gracile. Elle portait un chemisier un peu moins transparent que la veille, mais tout aussi sexy dans la mesure où l’on se demandait bien si elle portait quelque chose en dessous. J’aurais parié que non. Ses longues jambes fines étaient nues, visibles jusqu’au-dessus des genoux, et magnifiées par des escarpins rouges assez hauts. Sa jupe, blanche, serrée en bas et autour du bassin, était plus ample au niveau des cuisses. Elle se terminait par de la dentelle fine. C’était en effet tout à fait original, et pour le moins surprenant. Il s’agissait sans doute d’un vêtement de créateur qui mettait en avant ses formes, et ...
«1...345...12»