1. On ne sait pas où l'on va, des fois, en courant


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fhh, copains, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, Oral pénétratio, regrets, cocucont,

    ... particulièrement celles de ses fesses. Michel en est resté la bouche ouverte. Mick, tout sourire, l’a complimentée avant de lui demander de tourner sur elle-même, ce qu’elle a fait avec grâce. Elle a fait demi-tour pour revenir avec une petite veste en cuir qu’elle s’est posée sur l’épaule avant de nous dire qu’elle allait faire un tour, qu’on ne l’attende pas pour dîner. Mick s’est levé pour l’embrasser et l’a accompagnée vers la porte en lui souhaitant une bonne soirée. Gros doute. À l’évidence, sa tenue suggérait une certaine disponibilité, peut-être même un appel au viol. Était-il con au point de ne pas s’en rendre compte, ou tout simplement s’en foutait-il ? Mick n’était pas encore assis quand la porte s’est ouverte à nouveau. Marie semblait avoir oublié quelque chose. Elle s’est dirigée vers Michel pour lui demander s’il n’aurait pas envie, pas hasard, de l’accompagner. Sincèrement, je n’ai pas compris sa réponse. Un mélange de borborygmes et d’onomatopées incompréhensibles, accompagnés d’un mouvement rapide vers la chambre pour aller y chercher ses chaussures et passer une veste, et voilà mon Michel comme le chien-chien à sa mémère qui attendait sur le pas de la porte qu’on veuille bien le faire sortir. Marie l’a remercié bruyamment avant de refaire un bisou à Mick et d’ouvrir la porte pour libérer le fauve. Et ils ont disparu. Ne restaient que les marathoniens tout à leur concentration, encore que j’avais du mal à ne pas penser à la chance qu’avait Michel. En trois ...
    ... ans de fac, je n’ai pas même vu son corps dénudé. Lui, il a eu droit à la star à poil dès le premier soir. En plus, dans une position avantageuse. Et j’imaginais mal qu’elle l’ait invité à la suivre sans une arrière-pensée quant à la suite de la soirée. Pour tout dire, quand l’heure est venue d’aller nous mettre au lit après notre dernier repas d’avant course, je nourrissais une forme d’angoisse mêlée d’une certaine excitation. Une forme de peine aussi. J’avais de la peine pour Mick qui devait être cocu et re-cocu. Il ne méritait pas ça, ce garçon… Quand mon réveil a sonné à 4 heures, j’avais un peu la tête dans le cul. Mick aussi avait les traits tirés et la mine déconfite. On a très peu parlé en buvant notre thé en en mangeant du riz au lait. Puis retour dodo, en attendant que la digestion se fasse. J’ai très peu dormi. Il était 4 heures 30 quand je suis revenu au lit après être allé jeter un œil dans la chambre de Michel. Son lit n’était pas défait. J’imaginais que Marie n’était pas là non plus. Mick ne m’avait rien dit… A 7 heures, re-réveil. Cette fois, j’étais un peu plus en forme, sauf qu’une terrible envie d’aller aux toilettes me tordait les boyaux. Assis sur le trône, j’ai envoyé un SMS à Michel pour savoir où ils étaient. Jusqu’à notre départ pour le métro, j’ai surveillé sa réponse ; sans succès. À 8 h 40, frais et motivés, l’adrénaline commençait à monter. J’avais mon téléphone dans la poche arrière de mon short. Une vibration. Michel. « tkt, on est rentré, on vous ...
«12...456...12»