1. Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (4)


    Datte: 17/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Mais c’est bien notre intention mon amour. Allez, assez discuté, met toi en place, nos copains commencent à s’impatienter. Tout en parlant nos invités se sont déshabillés; ils sont donc quatre, le papy, Augustin et Jocelyne qui ont été le chercher à la gare, et Amédée, un copain à eux, un black dans la cinquantaine et incroyablement bien monté. Vanessa enfourche à nouveau le vélo, plante sa chatte sur le gode, tandis qu’Augustin se met en place. Il glisse son gros gland et sa queue épaisse dans l’œillet offert de notre jeune femelle. Il n’a plus qu’à la laisser faire pour leur plus grand plaisir à tous les deux. Pendant ce temps Jocelyne s’occupent des deux autres hommes, Amédée et papy, et les pompe tous les deux pour les faire bien bander, bien durcir, que Vanessa ne soit pas déçue de ces deux queues qui sont sans doute ses préférées, l’une pour le calibre, l’autre pour l’inceste. Notre pédaleuse y va à fonds, donne toutes ses forces pour en finir avec Augustin, impatiente de retrouver son grand-père et sa queue qu’elle aime tant. Son partenaire craque à son tour et la remplit de son jus en jurant comme un gros porc. La troisième séance est terminée avec toujours le même final. Vanessa se tourne vers Amédée et son grand-père qui se font sucer par la femme d’Augustin: — Oh papy, je n’y crois pas comme tu bandes! Tu avais toujours la bite molle ces derniers temps. — Oui, et ça semblait te déplaire. Alors je prends du viagra maintenant, et je vais pouvoir te défoncer comme au ...
    ... bon vieux temps. — Oh oui mon papy, j’en ai envie de ta belle queue, viens, mets me la. C’est vrai qu’il a une belle queue ce vieux, plus que la mienne, et au moins autant que celle de mon beauf. Vanessa remonte une fois encore sur le vélo et écarte ses fesses pour offrir sa rondelle bien dilatée. Son grand-père se colle à elle et l’embroche avec délice. Il est bien planté en elle, et elle reprend son exercice, lui masse le manche de toutes ses forces, se déchaine pour le faire jouir rapidement, sachant qu’elle doit encore garder de l’énergie pour Amédée et son énorme chibre. Elle l’encourage, lui dit qu’elle l’aime, qu’elle a envie de sentir sa semence l’envahir. Il l’aime lui aussi, le lui dit, et finit par éjaculer abondamment entre ses reins. Même final, elle nettoie sa queue et alimente le saladier. Il lui reste le black à utiliser, comme elle l’a fait pour nous autres, comme un gode, sauf que celui là est impressionnant (près de trente centimètres, sur sept de large). Elle s’approche de lui et s’empare de son monstre à deux mains: — Ouah, cet engin, je n’en ai jamais vu d’aussi beau. Elle doivent s’éclater tes partenaires. — Oui, sauf qu’aucune n’a jamais osé m’offrir son cul. Et toi, ça ne te fait pas peur? — Non, t’inquiète, j’en prend des encore plus grosses. — Je sais, on me l’a dit, celles d’animaux. Mais des hommes, tu en as déjà eu des pareilles? — Non, je me suis déjà faite prendre par deux blacks en même temps, très bien montés, mais pas autant que toi. Tu es ...