1. Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (4)


    Datte: 17/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... un vrai étalon mon salaud, et je compte bien la prendre toute, ta queue, jusqu’aux couilles. Le temps de parler elle a repris son souffle, s’est un peu reposée, et est prête pour la dernière ligne droite. Elle se réinstalle sur le vélo, la chatte sur le gode, et son cul offert une fois encore. Amédée plaque son gland démesuré sur le petit trou de Vanessa. Heureusement il y a encore du sperme qui s’écoule de son conduit et qui va servir de lubrifiant. Il pousse pour s’introduire, elle ouvre grand la bouche mais se retient de crier pour ne pas l’effrayer et qu’il continue sa pénétration. Il est à moitié enfoui, et elle prend les commandes. Elle reprend son exercice, coulisse sur sa colonne, et s’enfonce un peu plus à chaque descente. Heureusement pour elle sa bite est souple, bien que développée au maximum, et elle va pouvoir la gober entière, jusqu’aux couilles comme annoncé. Amédée est comme un fou: — Oh, putain de salope, je n’y crois pas, qu’elle chienne tu es! Il est bon ton cul, je n’ai jamais rien connu de meilleur. Oui, branle moi avec ton trou à bites, fait moi gicler, salope. Elle ne répond pas, essoufflée par sa performance, et se démène comme une hystérique pour purger l’incroyable braquemart qui l’envahit. Une fois encore elle a gain de cause, et sent de longues giclées, fournies et brulantes, ...
    ... envahir ses reins. Elle attend le dernier soubresaut de son partenaire pour en profiter au maximum, puis le laisse se dégager. Elle s’empresse de se jeter sur sa queue pour la nettoyer, et parvient sous nos yeux ébahis à lui faire des gorges profondes, jusqu’à la racine. Son cul pisse du foutre à n’en plus finir dans le saladier. Elle a mouillé à flot durant sa chevauchée et on vide le récipient plein de sa liqueur dans le grand bol. La séance vélo est terminée, on félicite Vanessa, on la remercie pour s’être si bien occupée de nous et de nos queues. Elle est épuisée et on fait une pause. On prend un verre au salon, tous à poil, et elle s’étonne que l’on ne se rhabille pas puisque la soirée est terminée. Elle se trompe cette salope, elle s’est trop bien occupée de nos bites et on va essayer maintenant de s’occuper aussi bien de son cul. Elle proteste, disant qu’elle est épuisée, qu’elle n’en peux plus, mais on lui rappelle que c’est elle qui nous a dit qu’elle espérait bien qu’on l’encule après qu’elle se soit occupée de nous. On lui dit aussi qu’elle n’aura aucun effort à faire, sinon se laisser mettre, se laisser faire comme on s’est laissé faire nous aussi. Elle proteste encore un peu, pour la forme, sans conviction, et on sait qu’elle ne demande qu’à se faire défoncer, encore et encore. melmjjkx A suivre... 
«123»