1. Amours culottés (1)


    Datte: 17/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... remerciant Brice de produire autant de foutre. Son orgasme fut fulgurant et elle rougit de honte, peu après, en réalisant qu’à aucun moment elle n’avait pensé à Gabriel. « Là, il va vraiment falloir que je consulte, pensa-t-elle en éteignant la lumière. » Brice, dans le même temps, s’enivrait des odeurs piégées dans le tissu en se masturbant avec son caleçon. Il se construisait des images de sa mère nue, la poitrine bien ronde et la chatte intégralement lisse. Il s’imaginait la lécher et la pénétrer. La culotte sale de sa Maman n’en était qu’une représentation concrète et un merveilleux vecteur de plaisir. Il abandonna alors son vieux caleçon et roula le tanga en dentelle noire autour de sa verge tendue en plaçant bien son gland sur la doublure du fond. Son excitation monta encore d’un cran et après quelques minutes d’une masturbation sauvage, il envoya sa sauce se mélanger aux secrétions intimes de sa Maman adorée. Brice avait honte de lui, le lendemain matin, en déposant la culotte noire souillée de son foutre dans la panière à linge et il espéra, naïvement, que sa mère ne se rendrait pas compte de ce qu’il avait fait. Il embrassa Line qui, depuis son entrée en maternelle ne travaillait plus le mercredi, et s’en alla d’un pas joyeux à l’université. Line s’était mise à 80% quand Brice était petit et elle ...
    ... n’avait jamais souhaité reprendre un service complet. Cette coupure en milieu de semaine lui convenait bien et lui donnait du temps pour s’occuper d’elle et de sa maison. Elle passa par la chambre de son fils pour vérifier que tout était en ordre et se dirigea vers la sienne pour refaire son lit et rapporter le caleçon de Brice dans le panier à linge. Elle fut tout de suite étonnée de trouver tout au-dessus une culotte qu’elle avait portée deux jours plus tôt. Elle la prit machinalement dans ses mains et ses doigts rentrèrent en contact avec un liquide gluant qu’elle reconnut instantanément. Ce fut d’abord un sentiment de colère qui l’envahit car sa culotte engluée de foutre frais rendait évident ce qu’elle refusait de voir : Brice bandait pour elle et rêvait d’elle. Elle était furieuse mais, paradoxalement, son besoin irrationnel et toujours plus intense de sperme vrai fit qu’elle y porta quand même le bout de la langue et y trouva de l’apaisement. Elle recommença pour, finalement, promener une bouche vorace sur toutes les parties souillées de son tanga. Elle passa une main sous l’élastique de son legging et trouva sa chatte ruisselante de désir. Elle laissa ses doigts s’y enfoncer ou jouer avec son clitoris et finit ainsi par se faire jouir, debout au milieu de sa salle de bain, en s’imaginant dans les bras de Brice. 
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