1. Amours culottés (1)


    Datte: 17/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Amours culottés – I Les Martin avaient toujours mené une vie paisible et sans histoire. Gabriel, un homme de 49 ans, grand et encore séduisant, avait la direction d’une entreprise pharmaceutique, filiale locale d’un groupe allemand. Line, son épouse, de 43 ans, petite et très mignonne, était employée dans le service communication d’une administration territoriale. Il n’avait eu qu’un seul enfant, Brice, mais c’était un choix assumé dès le départ. Line, étant l’ainée d’une famille de sept enfants, estimait avoir déjà assez materné dans sa vie et n’en voulait absolument pas plus d’un. Gabriel avait très vite accepté la décision d’enfant unique de sa femme et avait prit une part active dans leur contraception en décidant de subir une vasectomie. L’opération était alors interdite en France et ils durent se rendre en Angleterre pour le rendre stérile. Line, qui l’aimait déjà follement avait été profondément touchée par cette preuve d’amour qui la libérait de la contrainte d’une pilule ou d’un stérilet et des risques d’oubli ou d’échec. De fait, ils avaient une sexualité épanouie qui, même les années passant, les satisfaisait encore pleinement. Brice, avait 18 ans, il était un peu plus petit que son père auquel il ressemblait beaucoup par ailleurs. C’était un garçon brillant qui s’orientait vers une carrière médicale. Il avait un petit côté introverti, ne sortait pas souvent, pour ne pas dire jamais, mais il avait quand même quelques amis et ses parents lui avaient connu deux ...
    ... flirts, alors ils ne s’inquiétaient pas trop. Tout avait commencé par un matin d’automne, juste après sa rentrée universitaire. Brice était seul chez lui, ses parents étant déjà parti travailler et il trainait dans la salle de bain après sa douche. Le panier à linge était ouvert et une petite culotte en dentelle reposait négligemment sur le bord supérieur. Il songea d’abord à la mettre à l’intérieur et refermer le panier, mais lorsqu’il eut le morceau de tissu entre les mains, dans un geste qu’il ne s’expliqua pas, il le porta à son nez. Aussitôt, les parfums intimes de sa mère envahirent ses narines et chamboulèrent son cerveau. Il en ressentit une vive émotion qui se traduisit par une érection phénoménale. Brice serra le fond de la culotte contre son nez, le lécha timidement du bout de la langue et, en fermant les yeux, il se masturba sauvagement avec sa main libre. Réalisant ce qu’il venait de faire, Brice en rougit de honte. Il jeta la culotte dans la panière qu’il referma, essuya les traces de son méfait répandues sur le carrelage et, après s’être habillé, il s’enfuit de chez lui en direction de la faculté de médecine. C’est seulement en arrivant qu’il se rendit compte qu’il avait oublié ses pochettes et son bloc de feuille pour noter et ranger ses cours. — Eh, Arnaud, tu pourrais me passer des feuilles ? J’ai oublié toutes mes affaires et je n’ai pas mon bloc. — Toi ? T’as oublié tes affaires ?! Qu’est-ce qui t’arrive ? T’es malade ? C’est vrai que t’as une petite mine… — ...
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