Des camarades de classe (2)
Datte: 18/11/2018,
Catégories:
Gay
... son visage. S’il avait été sûr de ne rencontrer personne, il se serait même totalement dessapé. Philippe l’attendait sur le palier, et lorsque Cyrille entra, il lui passa une main sur le cul. A peine la porte refermée, Cyrille se mit à genoux. La ceinture de Philippe était déjà dégrafée et sa bite se retrouva rapidement à l’air. Il l’enfourna dans la bouche de Cyrille, à moins que ce ne soit lui qui se soit jeté dessus. Il saisit la tête de son comparse et imprima le rythme de la fellation. Il commença par lui baiser littéralement la bouche pendant les premières minutes, comme pour montrer qui était le mâle puis il ralentit, laissant à Cyrille le temps de savourer la pipe. Philippe était bien monté et il appréciait les efforts que son suceur faisait pour engloutir entièrement son engin. Il avait d’abord envisagé de le lui enfiler dans la gorge sans ménagement, mais il se retint. Il était finalement préférable de lui laisser le temps de s’habituer puisqu’il était de bonne volonté. Cyrille s’appliquait, léchant, suçant, aspirant la belle bite de son ami qui commençait à gémir de plaisir. Philippe ne put se retenir bien longtemps et il lui balança la purée sur le visage. Cyrille passa sa langue sur ses lèvres pour récupérer tout le sperme qu’il pouvait. Le gicleur lui étala de la main sa semence sur le visage. D’un doigt, il lui englua les yeux, comme s’il voulait le maquiller. ─ Viens me lécher la rondelle ; tu meurs d’envie de me fourrer ta queue dans le cul. Philippe se mit ...
... à quatre pattes sur son lit et Cyrille se colla contre ses fesses, lui bouffant la raie, lui travaillant la rondelle de sa langue. De plaisir, Philippe tortillait du cul, le frottait contre le visage. Quand le fion fut suffisamment enduit de salive, Cyrille se releva, cracha dans sa main et enduisit sa bite de sa salive. Il pressa son gland contre l’anus de son ami et entra doucement pour ne pas lui faire mal. Il sentait sa queue progresser lentement et dilater l’anneau de muscles. Il ne connaissait pas meilleure sensation que celle de sentir un cul s’ouvrir sous la poussée de ce sexe. A la réflexion, si, il y avait bien une sensation encore meilleure : sentir une bite lui défoncer la rondelle, puis se sentir complètement emmanché par cette bite. Cyrille s’activait de plus en plus rapidement ; il adorait sentir ce fourreau enserrer sa queue. Ça n’avait rien en commun avec les sensations qu’il pouvait ressentir quand il se masturbait. Philippe gémissait de plaisir sous les poussées de son camarade. Cyrille ne tarderait pas à éjaculer ; il sentait les signes avant-coureurs de sa jouissance. ─ Vas-y, farcis-moi l’oignon ! Cyrille donna un ultime coup de reins et se vida en tenant son ami fermement par les épaules, comme s’il craignait qu’il s’échappe. Mais bien au contraire, il reculait comme s’il pouvait de la sorte appuyer sur les couilles de son enculeur et s’assurer d’en faire sortir tout leur contenu. Cyrille était comme groggy de tant de plaisir. Il resta fiché dans le cul ...