Justine, Jérôme, Rex et la famille. (8)
Datte: 18/11/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Justine, Jérôme, Rex et la famille. Ch8. Coco et Doudou, un régal. « C’est décidé : ce soir, le cousin passe à la casserole. Je vais me le faire, cet aristocrate, et lui remplir le trou de balle ! » Cette pensée m’obsédait. Dans la salle de bain, j’en avais informé Justine, qui, ravie de cette idée, m’informa que Coco allait prendre un cours de broute-minou. Avant de nous coucher, nous souhaitâmes une bonne nuit à nos parents. Maman en profita pour me mettre discrètement la langue au moment du bisou habituel. Comme nos jeux avec nos parents étaient provisoirement suspendus à cause des cousins, nous étions libres de nos mouvements, mais sans en avoir vraiment l’autorisation. Je soufflai à mon père de mettre la vidéosurveillance en marche s’ils voulaient profiter du spectacle ce soir ; il ne répondit rien. Alors que je me retrouvais dans ma chambre avec Charles-Édouard, j’entamai la conversation : — Mon cher cousin, je voulais te dire que, normalement, je dors nu : je suis plus à l’aise. Maintenant que nous nous sommes vus nus et que nous nous connaissons un peu mieux, je pense que nous pourrions dormir ainsi, si cela ne te pose pas de problème. — Je n’ai pas l’habitude de dormir ainsi : chez nous, c’est pyjama obligatoire. Mais je veux bien tenter l’expérience. Je me déshabillai entièrement et m’installai sur mon grand lit pour deux, assis en tailleur ; mon cousin m’imita. Assis face à face, nous engageâmes la conversation sur tout et rien, puis petit à petit je fis glisser ...
... le sujet sur le cul : — Alors, que penses-tu des deux filles ? Elles sont belles, n’est-ce pas ? — Oui, Jérôme, mais ce n’est pas pour nous. Déjà que de se mettre nus avec elles c’est un péché, nous risquons les foudres de l’enfer. Et si nos parents apprennent ça, tu imagines le désastre ? — Holà, comme tu y vas ! Les foudres de l’enfer, tu y crois à ces trucs de curés ? — Nous allons à la messe tous les dimanches ; et dans les textes, c’est interdit. — Et de regarder des belles nanas, c’est interdit ? Tu t’imagines dans les bras de Justine ? Il ne répondit rien. Un peu gêné, il se tournait les doigts. Il commençait à bander ; à la vue de son érection montante, je renchéris : — Et puis nous sommes majeurs... Et je lui sortis notre – maintenant célèbre – théorie qui dit que « Nous sommes majeurs, et donc... etc. » Il finit par admettre que nous n’avions pas tout à fait tort, alors je repris : — Ferme les yeux et imagine : elles sont là, dans la chambre d’à côté, allongées nues sur le lit ; elles s’embrassent et se caressent. Justine est en train de lécher le minou de ta sœur qui joue avec les tétons de ma mienne. Waouh ! Comme elles sont belles ! Et elles font l’amour comme de gouines... Au fur et à mesure que je lui racontais ce que devaient faire les filles au même moment, il bandait de plus en plus. J’attrapai sa bite ; il eut un mouvement de recul mais je ne la lâchai pas, il se laissa faire. Je le branlais doucement ; il prit appui sur ses bras placés en arrière. Les yeux ...