1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (8)


    Datte: 18/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... fermés, il soupirait doucement. Je pris sa queue en bouche. — Non, pas ça ! — Pourquoi ? Tu n’aimes pas, peut-être ? — Si... non... enfin... — Alors laisse-toi faire et tais-toi ! Je repris ma fellation, puis le forçai à s’allonger sur le lit. Ainsi je pouvais lui malaxer les couilles, titiller ses tétons et le caresser comme je le faisais à Justine. Il fallait que j’aille encore plus loin. Je me plaçai au-dessus de lui en 69, saisis ma queue et la plaçai devant sa bouche. À ma grande surprise, il l’avala gloutonnement et me tailla une pipe royale. J’avais le sentiment que derrière mon cousin avec ses airs de bourgeois coincé, cureton, hautain et maniéré se cachait un beau cochon avide de sexe ; mais qu’à cause de son éducation bourgeoise dictée par les bonnes pratiques religieuses et la bienséance, il ne pouvait pas s’exprimer et réaliser ses fantasmes les plus fous. Je décidai de lui filer un coup de main, ou plutôt de bite. Je me tournai, le regardai droit dans les yeux et lui dis : — Mon cher cousin, je vais élargir le cercle de tes amis... En gros, je vais t’enculer. Tourne-toi, s’il te plaît ! Surpris, il ne protesta pas, se retourna, m’offrant aussi la vision de sa rondelle brunâtre. Une capote bien huilée ainsi que son rectum, je pénétrai son orifice anal. C’était serré, très serré ; sous ma poussée, il avança un peu. Je le pris par la taille pour le retenir. Putain ! C’était la première fois que j’enculais un mec... Et un aristo, en plus ! Cela me procura une grande ...
    ... satisfaction ; mon bonheur n’en était que plus grand, et la jouissance qui s’ensuivit encore plus intense. Charles-Édouard appréciait visiblement, à en croire les râles qui sortaient du fond de la gorge et à la raideur de son membre : il saisit sa bite à pleine main et se branla ! Mon méfait accompli, je lui tendis une capote en lui disant : — Allez, tiens, enfile ça et viens me sodomiser à ton tour, j’en ai envie. Justine aurait éclaté de rire si je lui avais demandé un truc pareil, car ça, elle ne me l’avait encore jamais fait. — T’as raison, espèce de gros pédé, je vais t’enculer ! Pour le coup, il m’avait cloué le bec. Je lui présentai mon cul car je voulais savoir quel effet cela faisait de se faire sodomiser par un aristo. Sans se démonter, il me saisit par la taille et m’enfonça son dard dans le trou du cul et me lima comme un forcené jusqu’à ce que je sente sa bite gonfler et éjaculer par saccades dans la capote, puis il se retira. — Eh bien, mon cochon ! Moi qui croyais que tu étais coincé du cul, je me suis trompé sur ton compte ! Je te présente mes excuses. — Non, c’est à moi de m’excuser ; je n’aurais pas dû faire ça, c’est immonde... — Mais non, c’est naturel de baiser. Ne te tracasse pas pour cela. — OK, j’ai aimé, mais n’en parle pas à ma sœur. — Ta sœur ? Écoute... Je me levai du lit, entrouvris la porte de ma chambre et allai me rasseoir. Écoutant en silence, nous pouvions percevoir les gémissements étouffés des deux filles. Je lui chuchotai : — Tu entends, ...