1. Cache-cache (1)


    Datte: 07/08/2017, Catégories: fh, couplus, extracon, cocus, inconnu, ascenseur, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu, couple+h,

    ... par la perception de celui qui l’avait si longtemps regardée au café, et qui provoquait depuis, chez elle, de bien agréables réactions… Tous deux, nous sommes convenus qu’elle porterait ce jour-là une jupe sombre au-dessus du genou et fendue sur le côté qui mettrait particulièrement en valeur la clarté lumineuse de sa peau. Elle porterait des mocassins vernis avec des talons qui ont le pouvoir de magnifier le galbe de ses longues et superbes jambes. Et comme haut, un T-shirt tout simple et moulant. Ne portant pas de soutien-gorge, elle offrirait à la vue de son admirateur le relief prometteur de ses boutons de seins ! Je redécouvris ainsi, en sortant de notre immeuble, l’exhibitionnisme de mon épouse que je ne faisais alors que soupçonner. Ainsi vêtue, ou dévêtue, elle était rayonnante de beauté et attirait outrageusement les regards des hommes comme des femmes. Une autre qu’elle aurait pu, habillée ainsi, paraître vulgaire, mais c’était curieusement tout le contraire qui se passait avec Sophie, marchant avec une classe qui immédiatement frappa mon esprit. Certains esprits jaloux, ce jour-là auraient pu s’imaginer me voir marchant au bras d’une femme vénale. Je me trouvai en effet auprès d’elle si quelconque qu’elle ne pouvait apparaître que comme une luxueuse femme vénale ! Après avoir mesuré l’évidence du sex-appeal de mon épouse dans le regard des autres, nous avons décidé de nous séparer à l’approche du café. C’est moi qui vins m’asseoir le premier et pus constater que la ...
    ... « proie » consentante était déjà là, exactement à la même table ! Je me plaçai de côté pour profiter au maximum du spectacle sans capter son attention ni celle de Sophie. Nous étions en effet convenus qu’elle devait faire comme si je n’étais pas là, sans jamais chercher à croiser mon regard. Le principe étant que, quel que soit ce qu’elle se permettrait avec cet homme, elle me laisse la possibilité de pouvoir rester aux premières loges ! Je ne réalisais pas alors à quel point cela pourrait être parfois compliqué… Elle est arrivée peu de temps après et, sans hésitation, s’est approchée de lui. Pas de décolleté plongeant cette fois-ci, mais la vision qu’il eut de sa poitrine était probablement plus impudique encore. Avec le bruit de la rue, je ne pus que deviner et parfois déchiffrer le contenu de leur conversation naissante. Ce que je remarquai immédiatement, c’était cet échange de sourire entre eux, cette atmosphère de tendre complicité qui sembla s’établir avec un tel naturel et me fit un pincement au cœur. Avant la mise en place de ce petit stratagème, la complicité était devenue ce qui nous faisait le plus défaut à Sophie et à moi. Et je les vis là, d’évidence tous deux « sur la même longueur d’onde », simplement heureux d’être là et de se dévorer du regard l’un l’autre ! Cela me rappela, par un raccourci tendrement douloureux, mes premiers rendez-vous avec celle qui deviendrait un jour ma femme, alors que nous n’étions que de jeunes étudiants. Assis, un peu à l’écart, je ...
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