1. Le piège (suite et... fin !)


    Datte: 19/11/2018, Catégories: fhhh, couleurs, couple, voisins, Collègues / Travail grossexe, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... arrière, jambes ouvertes et relevées, offrant ainsi ma vulve à l’assaut de celui qui me dévorait et qui, maintenant, s’est redressé. Debout face à moi, il saisit mes hanches, son sexe tendu, menaçant comme un pieu. J’ai le temps d’admirer cette colonne de chair qui vient frôler mon entrejambe. Le contact du gland luisant, énorme, m’arrache un nouveau gémissement. Lentement, il force mes chairs, m’écartèle, s’enfonce d’une seule poussée jusqu’à ce que son pubis vienne frôler le mien ! Sensation démentielle que cette tige de chair brûlante envahissant mon ventre… Cette fois je suis pleine, comblée jusqu’au plus profond de moi-même, empalée… Commence alors un lent et inexorable va-et-vient. Les mains de mon mari pétrissent mes seins, celles de mon troisième agresseur se glissent sur mon ventre, un puis deux doigts prennent possession de ma rondelle brûlante, allant masser au travers de l’infime cloison séparant mes reins de mon ventre la tige énorme qui grossit encore… et me pilonne comme un métronome ! Je ne peux retenir un cri lorsque la cadence s’accélère et que mon violeur se retire lentement de mes chairs torturées par la jouissance qui monte en moi. Je ressens un immense vide, le gland s’échappe hors de moi… Mais c’est un véritable hurlement que je pousse quand mon agresseur, dans un ultime et brutal coup de reins, se plante littéralement en moi, que l’énorme mandrin écartèle mes chairs et que dans un grognement bestial il explose, m’inondant de longues giclées qui ...
    ... déclenchent enfin mon orgasme… Je m’écroule, terrassée par le plaisir, entre les bras de mes trois agresseurs qui me soutiennent, me portent, m’emportent vers notre chambre… Ils me déposent sur le lit, ravagée, semi inconsciente, totalement nue, offerte à leurs regards lubriques, à leurs nouvelles caresses, pleines de douceur maintenant. Mon cœur s’apaise, ma respiration redevient normale, je suis bien, comme sur un nuage et je commence à m’éveiller sous les mains qui parcourent ma peau… Mais c’est fou ! Leur douceur, leur tendresse, mêlées à leur ardeur et à leur lubricité, éveillent à nouveau mes sens ! Je sens en moi renaître cette brûlure annonciatrice de plaisirs extraordinaires. — Ah… Mon ange reprend conscience, dit mon mari. Nous allons pouvoir terminer notre dessert ! Il reste un bel éclair au chocolat qui ne demande qu’à être dévoré à belles dents et je suis persuadé que tu ne vas pas résister à l’envie d’y goûter, à moins que ce ne soit l’inverse, que ce soit lui qui préfère mener le jeu. À nouveau, j’ai sous les yeux la splendide colonne de chair noire. Elle est vraiment trop tentante, je tends la main pour caresser la peau douce, soyeuse de cette tige énorme, dure comme une barre de métal. Nos folies de l’après-midi me reviennent à l’esprit et je ne résiste pas à l’envie de poser mes lèvres sur le gland offert. Mais une fois de plus, mes compagnons en ont décidé autrement et je me retrouve entraînée vers la terrasse, toujours totalement nue, comme mes trois compères. ...
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