Le piège (suite et... fin !)
Datte: 19/11/2018,
Catégories:
fhhh,
couleurs,
couple,
voisins,
Collègues / Travail
grossexe,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
... Mon mari chéri m’invite à m’allonger dans le transat sur lequel j’avais langoureusement débuté mon après-midi puis s’éloigne pour servir à boire à ses copains, vient me tendre un verre en souriant et en annonçant que nous faisons une petite pause… — Profites-en bien, car ta soirée n’est pas terminée et je te veux en forme, mon amour ! Je me laisse aller à ces quelques instants de béatitude, sereine, comblée. La nuit est chaude, il fait bon, je suis bien… Je ferme les yeux pour profiter pleinement de ce moment de bonheur total. Mon mari et ses deux amis discutent à voix basse, puis celui-ci s’approche de moi : — Au fait, que faisais-tu cet après-midi lorsque mes amis sont arrivés ? N’étais-tu pas en train de bronzer, aussi nue que maintenant, avec en tête, l’espoir que notre cher voisin profiterait largement du spectacle de tes charmes ? Qu’il se ferait plaisir tout seul en fantasmant sur ma belle épouse ? Le pauvre ! Heureusement que ton cher mari a bon cœur. Alors il est notre invité lui aussi ! J’ouvre les yeux et découvre qu’en effet, ils sont désormais quatre sur la terrasse ! Notre voisin, aussi nu que les trois autres, un verre à la main, me regarde avec un sourire carnassier. Et il arbore une belle érection qui n’a rien à envier à celle de ses nouveaux amis ! Surprise de cette nouvelle intrusion, je m’assieds sur le bord de mon transat, il s’approche, se penche vers moi pour me dire : — Bonsoir, belle voisine, plus belle et plus désirable encore que cet après-midi, en ...
... effet ! Il me fait la bise puis se redresse. L’instant de surprise passé, je sens à nouveau durcir la pointe de mes seins et une douce chaleur remonter au creux de mon ventre, face au nouvel arrivant auquel j’aurais volontiers offert mon corps quelques heures auparavant. C’est encore mon mari, posté derrière moi qui déclenche les événements. — Cette fois la haie est franchie ! Notre cher voisin meurt d’envie de concrétiser son rêve, il me semble d’ailleurs que tu n’es pas du tout opposée à sa présence parmi nous et que tu as toi aussi certaines envies. Je me trompe, ma chérie ?— Non, tu as raison, j’avoue que cet après-midi, je me suis caressée au soleil, en pensant que notre voisin m’espionnait, qu’il devait bander en me regardant et que je me serais très volontiers laissée embrocher par ce vilain voyeur… Vilain voyeur qui s’approcha de moi, le sexe toujours raide juste à hauteur de mon visage. Mon mari appuya légèrement sur ma nuque, l’homme cambra les reins, son gland frôla ma bouche. Il gémit quand j’ai commencé à laper d’une langue gourmande son beau pieu et que je l’ai laissé s’enfoncer lentement entre mes lèvres. Ses mains s’emparèrent de mes seins, glissèrent dans mes cheveux. Il imprimait un mouvement de plus en plus rapide à son bassin, violant ma bouche en poussant de petits grognements, comme s’il allait jouir très vite. — C’est trop bon ! Cela fait des mois que je rêvais à cet instant… Hummm ! C’est de la folie ! Pourtant, il s’arracha à ma caresse, me prit sous ...