1. Une généreuse maman (6)


    Datte: 21/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    La puissance du jet lui a arraché un petit cri, maman s’y est abandonnée en claquant des dents. L’eau glacée ruisselait sur son corps, lui fouettait le sang. Elle avait besoin de se vider le cerveau. Après, elle essayerait de se reprendre en main, de remettre un peu d’ordre dans ses idées… Elle avait entrevu l’issue dès le début : quand on joue avec le feu, on se brule à l’arrivée ! En femme désabusée qui connaît son sujet, elle savait que je ne renoncerais jamais, qu’il suffirait d’une simple étincelle pour mettre le feu aux poudres, pourtant elle ne s’attendait pas à ce que son mari gratte l’allumette le premier. Il n’avait cherché qu’à l’humilier, la rabaisser. Il avait fait un esclandre parce qu’il ne supportait pas que « son territoire », sa chasse gardée, soit partagée avec quelqu’un d’autre, fût-ce son propre fils animé par un amour filial innocent. Car - et c’était toute l’ironie de la situation – ce macho arrogant était à des années-lumière d’imaginer la nature réelle des « rapports affectifs » qu’elle entretenait avec moi. Il avait mis le doigt dessus, sans se douter un seul instant qu’il avait tapé dans le mille. Elle n’en pouvait plus de sa détestable suffisance de mâle alpha, de son besoin pathologique de tout régenter. Elle en avait assez qu’il la considère comme un article de luxe, un animal de compagnie amélioré qu’il adorait exhiber pour mieux briller en société. Ce qu’il avait osé lui reprocher était inexcusable. Elle refusait qu’il la traite comme une ...
    ... écervelée. Avant sa pitoyable intervention dans la voiture, maman s’était toujours imaginée que j’étais gouverné par les démons de l’âge ingrat. Elle croyait que j’avais jeté mon dévolu sur elle par pure opportunité, mais que n’importe quelle autre femme disponible aurait fait l’affaire aussi bien qu’elle, sinon mieux. Et voilà que mon attitude insensée – sur la banquette arrière d’abord, et puis dans son lit, au beau milieu de la nuit - lui faisait reconsidérer la question. Elle avait été stupéfiée par la force du désir qu’elle m’inspirait. Elle ne s’était jamais doutée qu’elle m’obsédait à ce point. Elle ne savait plus où elle en était. Elle m’avait giflé parce que je le méritais, mais elle s’était sentie désarmée devant l’émoi irrationnel que me procurait la vision de son corps, alors qu’elle était bien placée pour savoir que son anatomie n’avait (presque) plus aucuns secrets pour moi. « Il me dévore des yeux, et pas seulement au sens figuré ! » Malgré ses réticences légitimes, elle avait été tellement bouleversée par ma persévérance qu’elle avait décidé de m’offrir ce qu’elle m’avait refusé jusqu’alors… Elle est sortie de la douche et s’est regardée de pied en cap, toute nue, dans le grand miroir qui lui faisait face. D’un regard qu’elle voulait le plus neutre possible, impitoyable, celui que redoutent les belles femmes qui vieillissent, elle a observé avec attention l’image qu’il lui renvoyait. Une femme de presque trente sept ans, aux formes certes plus épanouies qu’avant, ...
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