Une généreuse maman (6)
Datte: 21/11/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... mais qui défiaient encore l’apesanteur. Ses seins étaient lourds, pleins et laiteux, mais encore haut perchés. Les hanches, un peu plus larges, faisaient ressortir la finesse presque intacte de la taille. Elle s’est retournée ; le contraste entre sa taille étroite et ses hanches en amphore, entre la cambrure prononcée de ses reins et l’arrondi lascif de ses fesses, lui a fait pousser un soupir de soulagement. Son cul demeurait son plus bel argument, aussi irrésistible qu’avant. Elle s’est fait la remarque, non sans fierté, qu’elle ne pouvait qu‘exacerber le désir sexuel d’un jeune mâle en rut – y compris (et surtout ?) celui de son propre fils, avec un corps comme le sien. Elle a frissonné à cette pensée… Elle est venue me retrouver, après son bilan anatomique qui l’avait rassurée. Papa était parti, la voix était libre, rien ne la retenait. Elle s’est glissée dans mon lit toute nue, s’est jetée sur moi, m’a serré dans ses bras. Elle a tout de suite frotté sa chatte sur ma queue, avec une sorte d’urgence désespérée. Je somnolais. J’avais passé la nuit à me demander comment nous allions nous comporter, à tête reposée, après ce que nous avions fait. Nous avions baisé ! Ce n’était pas rien ! J’avais imaginé plusieurs scénarios qui nous auraient permis de ne pas être mal à l’aise l’un en face de l’autre, mais ce n’est rien de dire qu’elle m’a pris au dépourvu. Elle donnait l’impression que toute la frustration qu’elle avait accumulée depuis si longtemps, quand elle n’était ...
... préoccupée que par mon seul bien-être, laissait soudain place à un torrent bouillonnant qui ne demandait qu’à déborder. Elle avait envie de baiser, me le prouvait, mais elle m’effrayait plus qu’autre chose ; je n’étais qu’un puceau, et elle était vraiment déchainée ! Elle s’agitait. Elle sentait bon le propre, le savon, et aussi le shampoing Prairial aux pommes vertes. Elle s’est redressée, a entamé un lent déhanché circulaire en ondulant du bassin, s’est soulevée sur les genoux. Elle a attrapé mon sexe et s’est empalée dessus avec autorité. Elle s’est mordue les lèvres quand ma queue l’a pénétrée de toute sa longueur, a fermé les yeux en gémissant. Elle s’est imprégnée de sa raideur, et puis elle a lancé son ventre en avant pour me chevaucher ; elle me faisait encore un peu peur. Elle m’engloutissait voracement, frénétiquement, elle s’en mettait jusqu’aux ovaires ! Ma queue la remplissait, elle la réclamait, mais sa quête avait quelque chose de douloureux, d’interdit ; elle ravalait un sanglot quand le plaisir la dévastait. hufhoojz Elle me donnait l’impression qu’elle avait la conviction qu’elle le regretterait le lendemain, qu’elle en subirait les conséquences, mais qu’elle acceptait d’en payer le prix tellement c’était bon. Je n’osais pas bouger, ni même me manifester. J’assistais avec stupeur à l’étonnante métamorphose de ma mère, enchanté par son implication, même si je n’y participais que passivement. Ses gros nichons ballotaient sur son torse, secoués en cadence au rythme de ...