1. Une expérience banale mais inoubliable


    Datte: 21/11/2018, Catégories: h, hh, inconnu, voiture, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral jeu, init, confession, Gay

    On ne mesure pas toujours à leur juste valeur la force et l’intensité des désirs refoulés et niés ; une des raisons est que souvent leur force se reporte sur autre chose et cela les rend méconnaissables. Ce n’est qu’après des années, avec l’âge, qu’un travail de réflexion sur soi pourrait révéler leur vraie nature et nous rappeler à côté de quels immenses plaisirs on est passé et que d’occasions on a ratées ! C’est un de ces désirs anciens, refoulés, qui s’est révélé au grand jour à moi il y a quelques mois. Depuis, je me complais de plus en plus à raviver ce désir par des fantasmes sans aucune culpabilité. Cela remonte à mon adolescence, au milieu des années 70, à Lyon. Au lycée j’avais un très bon copain qui s’appelait Alain. Nous avions tous les deux à peu près seize ans (du moins c’est à cet âge-là que je trouve les premières traces de mon désir). Nous habitions dans la même rue et allions au même collège. Toujours ensemble, nous étions inséparables. Nous nous confiions beaucoup de choses et comme nous avions l’âge du réveil brutal des désirs sexuels, le sexe était omniprésent dans nos confidences. Dans ces années-là, les revues et dans l’ensemble l’écrit dominait encore très largement, en l’absence de l’internet et de la vidéo. Je ne regardais pas une seule revue sans l’intention d’y trouver des photos sexy pour me masturber dessus. Ce que nous qualifiions à l’époque de « sexy » n’était autre que des images du décolleté généreux des actrices, des images de femmes nues ...
    ... ou à moitié dénudées ; et il nous arrivait aussi de trouver de temps en temps des images pornos. Quelques pages des catalogues de vente par correspondance aussi avaient le pouvoir de nous embraser. Nous découpions des photos qui nous excitaient et nous nous les échangions. Nous avions, Alain et moi, les mêmes goûts en la matière : les seins bien en forme et en chair, les décolletés des actrices célèbres. Au collège puis au lycée, nous étions de plus en plus absorbés par le désir extrêmement intense que nous éprouvions lorsque nous échangions les photos sur lesquelles nous nous étions masturbés et par la même occasion nous nous racontions nos fantasmes. Lorsque nous sommes entrés au lycée, nous avons pris l’habitude d’aller ensemble au cinéma plusieurs fois par semaine. La salle obscure était idéale pour nous masturber. Chacun de son côté mettait son blouson sur ses cuisses et dessous, nos mains s’activaient sur nos sexes tandis que sur l’écran quelques scènes sexy ou nues unissaient nos fantasmes en les amplifiant. Nous jouissions comme ça, l’un à côté de l’autre et chacun de son côté. Nous ne nous sommes jamais touchés… et aujourd’hui je le regrette profondément. Lorsque je me remémore ces moments de partage de désir, je découvre que tous les deux avions envie de toucher la bite de l’autre mais nous nous censurions très fortement. Nous nous somme masturbés une fois l’un en face de l’autre dans une cabine des toilettes du lycée et j’en garde un souvenir haletant d’envie et ...
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