Une expérience banale mais inoubliable - Histoires de Sexe

Une expérience banale mais inoubliable

... brûlant de désir. Ce jour-là nous nous étions réciproquement chauffés à blanc en lisant ensemble un bande dessinée érotique ; après la classe nous bandions tous les deux, c’est presque spontanément que nous sommes allés vers les toilettes pour nous soulager, mais cette fois-ci je suis entré derrière lui dans la même cabine. Nous avons sorti nos bites tendues au maximum et nous nous sommes branlés chacun en fixant le sexe de l’autre. Les images de sa bite qui tressautait entre ses doigts, de son gland luisant et baveux, ses respirations saccadées et rapides, se sont gravées à jamais dans ma mémoire. Aujourd’hui, presque quarante ans après, je regrette de ne pas avoir pris sa colonne de chair dans ma main, de ne pas l’avoir sentie vibrer sous mes doigts, de ne pas l’avoir collée contre ma bite en la branlant, et enfin de ne pas l’avoir prise entre mes lèvres et dans ma bouche. Le souvenir de chacune des occasions de masturbation avec mon copain Alain est devenu aujourd’hui un fantasme puissant, plus puissant que tout autre fantasme. Je ne peux me masturber devant un film porno sans imaginer qu’Alain est à côté de moi et que nous nous caressons mutuellement nos bites, que nous nous suçons à tour de rôle. Aujourd’hui je me branle en imaginant sentir sa bite dure se frotter sur mon ventre, sur mon visage, je m’imagine la coller contre mon cou et m’y frôler, la lécher de bas en haut, faire glisser mes lèvres mouillées sur son gland cramoisi ; me caresser le corps et la bite avec ...

... tout ce qui sort de sa bite, avec son sperme et son pipi. Ce fantasme intensifie tellement la puissance de mon désir et mon excitation que parfois je suis prêt à tout, à prendre dans ma main n’importe quelle bite, pourvu qu’elle soit longue et dure comme celle d’Alain. C’est dans ces moment-là que j’ose m’aventurer et vivre des expériences nouvelles dans un sex-shop ou dans un sauna. La première expérience que j’ai eu dans ce genre date d’il y a deux ans. J’étais en vacances à la campagne à une heure de Lyon. J’aime faire du sport et je marche beaucoup. Ce jour d’août, je marchais depuis deux heures quand je suis arrivé sur cette route déserte qui m’amenait à un col (je n’oublierai jamais le nom de ce col : le col des Ecorbans). Après une quarantaine de minutes de montée, en m’approchant du col j’y ai aperçu une voiture garée sur le côté avec un homme au volant. Je me suis approché, et en passant à côté, j’ai vu une scène qui m’a fait retenir mon souffle : le conducteur, qui avait baissé la vitre pour mieux entendre les voitures qui s’approchaient, avait une revue ouverte sur le volant qu’il tenait avec la main gauche et sa main droite faisait un va-et-vient sur sa grosse bite. Dépassant la voiture j’ai senti un mouvement de panique, le conducteur, qui ne s’était pas aperçu que je m’approchais de la voiture, sûrement paniquait et remontait sa braguette. Une main invisible m’a retenu à quelques mètres devant la voiture, à l’angle d’un petit chemin qui partait dans les bois. Le ...