1. Un train pas comme les autres


    Datte: 21/11/2018, Catégories: fh, fplusag, inconnu, train, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    Août 1995 ; j’avais 24 ans et me déplaçais souvent dans le cadre de mon travail. Une mission dans le Gard fut une des plus longues : trois mois et ce, sans rentrer. Le cadre était plutôt sympa, logé dans un camping (mais en bungalow), je profitais du soleil et de la piscine. Toutefois le temps commençait à me sembler long et les soirées entre amis à me manquer. Les retours le week-end étaient impossibles, faute de temps (Je vis habituellement en Basse-Normandie). Un coup de fil à des amis qui vivaient sur Bordeaux et que je n’avais plus vus depuis fort longtemps me redonna un petit coup au moral lorsqu’ils m’invitèrent à venir pour un week-end. Ni une ni deux, après avoir consulté la SNCF, je pris un billet Nîmes-Bordeaux. Départ 19 h, arrivée 0 h 30. J’étais heureux de pouvoir sortir, et surtout de les revoir. Le jour venu – ou plutôt le soir venu – je pris place dans un compartiment, seul (enfin pour le moment) et me voilà parti. 21 h, arrêt à Toulouse, de courte durée. Le train repartit, l’impression que peu de monde était monté à cet arrêt, et le sentiment que je serais encore seul dans ce compartiment, jusqu’à ce que la porte s’ouvre. Avec un bonjour, une femme d’environ 45-50 ans (je ne le saurai jamais) prit place. Au demeurant charmante, même si pas canon, elle dégageait une sensualité qui ne me laissa pas indifférent. Sa tenue, un chemisier blanc déboutonné juste comme il le faut et une jupe légère tombant juste au-dessus de ses genoux, faisait que l’on ne puisse ...
    ... faire autrement que de la regarder. Elle était en face de moi, assise, les jambes croisées ; sa jupe ayant glissé légèrement dégageait un peu l’une de cuisse qui, de ma place semblait lisse. C’est « elle » (je ne connaîtrai jamais son prénom) qui engagea la conversation, me demandant si j’étais un vacancier, quel âge j’avais, où je me rendais, etc., tout cela avec un joli sourire et un petit quelque chose dans le regard. Quelle indiscrétion ! Mais de toute ma timidité se libéreraient les réponses. Elle aussi se rendait à Bordeaux ;« Je ne ferai donc pas le voyage seul. » me dis-je. Toutefois la nuit était tombée et le sommeil commençait à me gagner, bercé par les roulements du train. Elle me demanda si cela me dérangerait de fermer les rideaux côté couloir et d’éteindre la lumière, question à laquelle je répondis « Non du tout, faites-donc. » Elle se leva et s’exécuta. Elle reprit sa place, avec une petite différence : une lenteur extrême au moment du croisement de ses jambes qui me permit d’apercevoir ce petit bout de tissu qui couvrait son sexe, sur lequel mon regard se posa. Elle s’en rendit compte, elle qui, dans le même temps, regardait avec un petit sourire la bosse qui prenait forme sous mon bermuda. Lorsque nos regards se croisèrent, une forme d’intimidation dut se lire sur mon visage car elle me dit sur-le-champ qu’il n’y avait rien de honteux à regarder ce qui se présentait à mes yeux, et qu’elle était flattée que cette vue provoque en moi une raideur. À ces mots, ma ...
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