1. Un train pas comme les autres


    Datte: 21/11/2018, Catégories: fh, fplusag, inconnu, train, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    ... verge se tendit encore plus, finissant par me faire mal au gland. Mon Dieu, comme cela était bon ! Gêné tout de même, je fermai les yeux, la tête posée sur la vitre, je n’osais les ouvrir pour voir si elle continuait à regarder cette bosse sur mon bermuda. La réponse était oui. Elle se confirma quelques secondes plus tard, lorsqu’en me demandant ce qu’elle faisait, je sentis l’une de ses mains remonter entre ma cuisse et mon short. Un peu surpris, j’eus un faux réflexe de la jambe, et dans le même instant je l’écartai un peu plus. — Détends-toi et laisse-toi faire, me dit-elle. Sa main continua son ascension avec une dextérité telle que, sans chercher, elle passa sous mon caleçon. Je n’en pouvais plus. Je sentis couler de mon gland cette substance lubrifiante. Elle aussi s’en aperçut et me glissa d’une voix douce « Tu mouilles, mon coquin… » Avec son autre main, elle fit glisser la fermeture Éclair de mon bermuda, fit sauter le bouton, laissant apparaître mon gland sortant de mon caleçon. Le « Hummm » qu’elle lâcha me fit frémir. Sentant ses mains tirer sur mes habits, je soulevai légèrement mes fesses afin de faciliter le glissement jusqu’à mes chevilles. Ses mains s’emparèrent de mon sexe en le masturbant, ses doigts étalant sur mon gland ce petit jus qui en sortait. Sa langue remonta alors du bas de ma verge jusqu’en haut où sa bouche goba littéralement mon gland. « Tu aimes ? » me demanda-t-elle ; mais qui n’aimerait pas ? Un « Ouiiiiii… » s’échappa de mes lèvres. Elle ...
    ... m’aspirait complètement et força un peu pour que je m’enfonce au fond de sa bouche. Elle se releva et se posa sur moi. Sans que je m’en aperçoive, elle avait enlevé sa petite culotte. Elle exerça une petite poussée sur mes épaules pour me faire descendre ; je me retrouvai donc assis par terre, la tête en arrière sur l’assise de la banquette. Elle se mit à genoux sur celle-ci, de façon à ce que sa chatte se retrouve devant ma bouche. Je sentis cette odeur existante de la cyprine qui coule – elle coulait, d’ailleurs – et ma langue récolta ce nectar, jouant avec ses lèvres, aspirant son clitoris, la pénétrant de ma langue aussi loin que possible. Elle se releva puis s’accroupit au-dessus de ma verge. Tout en la prenant afin qu’elle soit bien droite, d’un coup et sans difficulté, la lubrification naturelle aidant, je m’enfonçai en elle, sentant la chaleur de son intérieur… Les va-et-vient s’accélérant, sa chatte m’inondait et provoquait un claquement à chaque coup de reins. Ses mains caressaient mes bourses humides de sa cyprine, puis elle mit deux de ses doigts dans ma bouche ; ils étaient bien mouillés, et je m’empressai de les sucer. D’un mouvement du bassin je lui fis sentir mon envie de changer de position, et sans se faire prier, c’est à quatre pattes qu’elle se présenta à moi. Avec toujours autant de facilité, je continuai mes va-et-vient en elle, de plus en plus fort, mon bas-ventre claquant sur des fesses que mes mains tenaient écartées afin de voir ce petit trou dans ...