1. Une formation peut en cacher une autre


    Datte: 21/11/2018, Catégories: ff, profélève, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme fouetfesse, fsoumisaf,

    ... Oui, c’est bien ça, voir cette maîtresse femme nous mener à la baguette m’excite. Je le sens dans mon ventre, dans mes seins et dans le reste de mon corps, tout en elle m’excite désormais. Je suis surprise de ma réaction, car je n’avais jamais été confrontée à ce genre de situation et c’est une découverte pour moi. Le cours se termine et Marc annonce avec un certain ton de provocation : — Je ne pourrai pas être là pour le prochain, j’ai un rendez-vous avec un client et peut-être aussi le vendredi suivant. Remarquez, c’est avec un Anglais, ça fera comme si c’était un cours. Estelle, comme si elle attendait l’occasion, ajoute : — Moi aussi pour la même raison et pour le suivant je dois peut-être prendre mon vendredi en congé, mais je ne suis pas sûre encore. Comme à son habitude elle s’éclipse rapidement et disparaît de la pièce. Anne-Marie me regarde alors interrogative, je lis une certaine crainte inhabituelle dans ses yeux. — Et vous, Catherine ?— Je serai présente, pas de problème pour suivre la leçon.— Bien, très bien, me répond-elle, soulagée. Marc a lui aussi déguerpi me laissant seule avec elle en train de ranger mes affaires. Elle poursuit alors en me disant : — Nous verrons un peu plus de vocabulaire lié au logement la semaine prochaine— Très bien… Madame… J’ai volontairement prononcé le mot « madame » avec le plus d’humilité possible, par une sorte d’instinct et une subite envie de le faire. Sa réaction ne se fait pas attendre. Elle reste surprise une ou deux ...
    ... secondes et puis visiblement ce mot lui fait un effet dopant. Elle redresse la tête, je vois ses narines se dilater de plaisir comme un cheval à qui on flatte l’échine. Son regard me dévore l’espace de quelques secondes. On dirait que j’ai touché un point sensible. Elle me dit finalement : — Vous avez besoin de faire des progrès dans ce domaine.— Oui, je sais… Madame… Une nouvelle fois je réponds avec le ton le plus humble possible. Le mot magique a le même effet, elle se redresse encore plus, toujours avec ce tic aux narines et cet air de profonde satisfaction. — Bien, bon week-end.— Au revoir, Madame… Bon week-end. L’effet de surprise ne joue plus, mais elle ne semble pas se rassasier de mes « Madame » longs comme le bras. Le plaisir qu’elle y prend saute aux yeux. Elle commence à partir, mais arrivée au seuil de la porte elle se retourne et me dit : — Euh… Cela serait plus simple pour moi de faire cours chez moi, comme vous serez seule aussi, si… Avant qu’elle ne finisse sa phrase, je réponds : — Très bien, Madame… Vous pouvez me donner l’adresse ?— Bien sûr, tenez, vous devez connaître. Elle me tend une carte de visite et effectivement je connais l’adresse. C’est une des rues les plus commerçantes de la ville où je fais souvent du shopping à juste dix minutes d’ici à pied. — Parfait, vous viendrez à l’heure habituelle, 15 h 30.— Très bien, Madame… Toujours visiblement enivrée par mes « Madame », elle quitte enfin la pièce. Je reste seule quelque temps encore sous le choc du jeu ...
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