Une formation peut en cacher une autre
Datte: 21/11/2018,
Catégories:
ff,
profélève,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fouetfesse,
fsoumisaf,
... enfin. J’ai prévu une tenue plutôt sexy pour l’occasion. Une robe courte et moulante en matière élastique qui me couvre les épaules, mais avec une grande encolure en V fermée par quatre boutons. Une large ceinture repose sur mes anches, des bas comme la dernière fois et une paire d’escarpins évidemment. Pas de maquillage exagéré et j’ai remis le même parfum assez fort que j’avais vendredi passé. En début d’après-midi je croise le patron à la cafetière et il me dit : — Vous allez chez ma sœur cette après-midi pour le cours d’après ce que j’ai compris.— Oui, c’est ça. Comme je suis seule aujourd’hui, ça arrangeait Anne-Marie de le faire chez elle.— Bien, amusez-vous bien ! Il me dit ça toujours avec un air entendu, mais je réponds quand même : — Autant qu’on peut le faire en apprenant de l’anglais. Le reste de l’après-midi, l’agence est déserte. L’heure arrive enfin, mais un coup de téléphone retarde mon départ vers l’appartement de Madame Anne-Marie. J’arrive avec un quart d’heure de retard. Elle habite au premier étage d’un vieil immeuble. Dans cette rue beaucoup de rez-de-chaussée ont été convertis en boutiques diverses, cafés ou restaurants. Son appartement est juste au-dessus d’une boutique de prêt-à-porter et en face d’un café-restaurant. J’ai à peine sonné que la porte s’ouvre, j’ai l’impression qu’elle attendait derrière tellement cela a été rapide. Je ne lui laisse pas le temps de parler et je lui dis la phrase que j’avais prévue en baissant la tête : — ...
... Excusez-moi, Madame… je suis en retard. Levant les yeux, je vois que son visage passe du soulagement à me voir au plaisir d’entendre mes mots d’excuse et la forme que j’y ai mise. Elle prend une profonde respiration, les narines tremblantes elle me répond après quelques secondes de silence. — Oui je vois… Elle suspend sa phrase l’espace d’un instant comme si elle hésitait et ajoute enfin : — Et je n’aime pas ça ! Sa phrase est dite sèchement, mais je perçois encore une sorte de doute dans le ton. Comme si elle hésitait à me parler ainsi. Elle veut me tester c’est clair. Voir si je suis bien en train de rentrer dans son jeu de la professeure tyrannique et de l’étudiante soumise et craintive. Je rajoute alors toujours tête basse pour ne pas lui laisser de doute : — Oui, Madame… Excusez-moi.— Bien, avancez, on a assez perdu de temps comme ça ! Sa voix est encore plus sèche, mais sans ce soupçon de doute maintenant. Je rentre chez elle. L’intérieur fait assez vieillot, des meubles anciens et une décoration qui va avec. — Suivez-moi, on va se mettre au salon, vous pouvez poser votre veste à l’entrée. Je la suis docilement. Je m’aperçois qu’elle est pour une fois en jupe. Elle s’est maquillée aussi plus que d’habitude, les yeux sont bien dessinés par le maquillage et ses lèvres sont d’un rouge soutenu, presque vif. Sa jupe est classique, mais son chemisier plus moulant que d’habitude. Le salon n’est pas très grand et tout en long. Deux fauteuils avec un dossier assez haut sont vers la ...