Ce que femme veut !
Datte: 22/11/2018,
Catégories:
f,
Masturbation
fouetfesse,
historique,
Résumé de l’épisode précédent :«La légende du cavalier noir »Le vieux comte Aldemar de Merville est devenu grabataire par la volonté de sa jeune femme Hortense, qui désormais le trompe et le torture avec l’aide du marquis de Cessac.Découvrant cela, son fils – Pharamond de Merville – reprend les habits du cavalier noir, tue le marquis de Cessac et enlève son père pour le ramener chez lui, après avoir sévèrement corrigé Hortense de Merville. __________________________ Cela faisait maintenant deux jours que le comte Aldemar de Merville avait rejoint, dans les conditions extraordinaires que l’on sait, le domaine de son fils. Il s’agissait d’un ancien corps de ferme que Pharamond avait ingénieusement fortifié et qui offrait une protection efficace et suffisante contre les bêtes sauvages ou les bandes armées qui sillonnaient parfois la région. Rose avait bien entendu accueilli à bras ouvert son beau-père, tout comme Passepoil, Pissedru, et Ventre-à-terre, les trois valets – qui officiaient également comme soldats et garçons de ferme – ainsi que Lorène, l’accorte cuisinière, soubrette, et comptable du domaine. Les quatre personnes dont nous venons de citer les noms avaient été des années durant au service d’Aldemar, et avaient rejoint celui de son fils au moment de son mariage. Passepoil et Pissedru étaient deux géants débonnaires, fidèles en tout, et dotés d’une intelligence pratique dont l’efficacité ne se démentait jamais. Ventre-à-terre était un nain âgé de trois ans de plus ...
... que Pharamond, que le vieux comte avait recueilli enfant alors qu’il manquait de mourir de faim au cours d’un hiver plus rude que les autres. Le comte l’avait mis à l’étude avec son fils, et il avait reçu les mêmes précepteurs. Il avait étonné son monde… Son esprit était nettement plus délié que celui du jeune héritier : il comprenait vite, jugeait promptement, et il été doté d’un humour ravageur qui pouvait le rendre charmant ou cruel, en fonction de ses humeurs du moment. Quant à Lorène, de dix ans plus jeune que Pharamond, elle était fortement attachée à ce dernier pour des raisons que seule Rose ignorait, et qu’il avait bien fallu rendre « raisonnables » lorsque les deux époux avaient convolé en juste noces. Il n’en restait qu’une complicité troublante mais tout à fait honorable, et des secrets dont notre cuisinière, soubrette et comptable aimait se souvenir parfois, entre les bras de Pissedru qu’elle avait fini par épouser, qu’elle aimait bien, et qu’elle menait comme elle voulait. Pharamond terminait de s’habiller. Il était en train d’enfiler ses hauts de chausse lorsque Rose entra dans leur chambre d’un air à la fois décidé et agité, qui lui fit immédiatement froncer les sourcils… — Mon amour, nous avons une bonne nouvelle à vous annoncer !— Morbleu ! À votre air, ma mie, j’ai bien peur qu’elle ne soit bonne que pour une partie de ma maisonnée.— Je suis sérieuse… Et la nouvelle est bonne, n’en doutez pas.— Alors pourquoi cet air contrarié, ma douce ?— Parce que je vous ...