Hell's (2)
Datte: 22/11/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Les jours qui précédèrent le retour de Michel, le jeune chien suivit Claude partout. Il ne la quittait plus d’un pas. Elle songea qu’il attendait peut-être d’elle… non, elle n’osait pas imaginer qu’il puisse avoir ces idées-là tout le temps. Elle le tançait vertement, le repoussant dès que son museau s’appuyait trop sur une cuisse ou s’approchait ostensiblement de son entrejambe. Elle avait surtout la crainte qu’il y prenne gout et qu’il tente ce genre de fantaisies avec les invitées féminines du couple. Ils recevaient rarement de visites, mais enfin… on n’était jamais assez prudent. Michel revint le vendredi soir et il avait des intentions qui elles non plus, ne passaient pas inaperçues. Mais là c’était dans les normes et la brune s’y prêta volontiers. La nuit fut passablement agitée, mais elle y trouva son compte. Ils firent l’amour avec fougue et Hell’s avait repris sa place dans le corridor dès qu’il avait senti les effluves de sexe. C’est à dire… bien avant les humains, longtemps même avant que les deux amants se caressent. Michel remarqua cependant qu’alors qu’il se couchait sur le plancher, il léchait sa pine toujours raide et tendue. — Je crois que notre ami à quatre pattes en pince pour toi ma jolie ! — Ça ne va pas non ? Pas question qu’il m’approche pour ce genre de truc. Trop pris par ses propres envies, son mari n’avait pas relevé. Il léchait allégrement la chatte trempée de son épouse pour n’avoir pas encore à penser au cabot. Elle lui rendait la pareille et ...
... dans un soixante-neuf, deux bouches avides se perdaient dans des léchottes endiablées. Puis il l’avait prise, reprise, dans toutes les positions permises. Certaines parfois tenaient d’un équilibrisme des plus précaires. Et bouquet final, il avait joui sur son ventre, à petits jets mesurés. Elle aussi s’était enflammée dans un orgasme monumental et maintenant elle avait simplement posé sa main sur le ventre de son homme. La tête de son épouse appuyée au creux de la niche formée par son bras replié, il savourait cette menotte qui lissait ses poils pubiens. Les doigts s’aventuraient sur la bistouquette qui quelques instants auparavant était encore raide comme un piquet de parc. Il adorait ces retours, les ressassant sans cesse lors de son voyage. Claude était son ile, son escale, son étape. Chaque fois, il n’était pas déçu, elle savait se montrer si aimante. Elle connaissait son corps par cœur et n’éprouvait aucune honte à s’en servir brillamment. Les doigts venaient de resserrer leur étau sur cette queue flasque. La chaleur communicative de la paume de la main remettait une certaine vigueur à la chair molle. La bête reprenait, après cette pause, une allure vaillante et la brune se lança dans une fellation agréablement audacieuse. Mais elle sentit couler sur son ventre cette liqueur visqueuse que Michel avait étalée. — Oh ! Zut… je vais tacher tout le lit, les draps sont propres. Juste une seconde je reviens… eh ! Garde-toi en forme, tu ne perds rien pour attendre. À mon retour… je ...