1. Hell's (2)


    Datte: 22/11/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... deux mecs de sa vie. Le frisson qui la parcourut était autant dû à la fraicheur de l’eau qu’à son amour pour ce grand gaillard qui pataugeait dans la flotte. Elle fila vers la maison de bois, se sécha vigoureusement et apporta sur le ponton un drap de bain. Ils finiraient bien par revenir ces deux petits points noirs qui émergeaient de la surface azurée. Seul Hell’s était revenu vers la terrasse. Michel quant à lui, s’était frictionné avant de s’installer sur les planches de sapins où il amarrait son bateau. Il chargeait sa canne à pêche et un sifflet déchira le silence de ce matin doux. Le chien avait compris et ventre à terre, il fonça vers son maitre. De sa fenêtre Claude les vit partir tranquillement vers la rive opposée, celle où de grands arbres se penchaient sur l’onde. Son mari savait toujours où se poser pour pêcher. Quelques bruits lointains, étouffés parvenaient à la demeure du couple. La vie suivait son cours en dehors de cet espace clos. La brune n’avait même pas pris la peine de se rhabiller. Elle avait simplement passé une sorte de chemise relativement longue, mousseline transparente, aérienne et… terriblement sexy. Ses seins nus flottaient sous la vaporeuse matière, les poils de son pubis formaient un triangle sombre juste sous le nœud de la ceinture. Ses pieds nus trottinaient sur le sol et dans la cuisine la chaleur devenait bienfaisante. De temps à autre, elle jetait un regard sur la barque qui ne bougeait pas d’un pouce sur l’étendue liquide lisse. ...
    ... Rassurée de les voir là-bas elle resongea à ces jours sans lui… des moments difficiles. Puis au fur et à mesure des images remontaient à la surface ! Celles d’hier soir, du sexe de son mari qui lui labourait les entrailles, celles aussi plus spécifiques des trois ou quatre coups de langue de Hell’s, dans la salle de bain. Elle se demanda pourquoi cette histoire, somme toute, banale d’un chien aimant sa maitresse, lui restait en travers de la gorge. Sans doute parce qu’en y songeant plus profondément, elle ne pouvait s’empêcher de se dire que… c’était bon cette caresse interdite. Le sperme de Michel avait-il attiré le chien ? Ou bien était-ce tout bonnement son odeur à elle qui… ça tournait à toute vitesse dans sa caboche. Elle s’abandonna dans la confection méticuleuse du déjeuner. Les deux autres au loin, restaient complices dans une activité qui lui était parfaitement étrangère. Elle devinait l’animal couché sur le fond de la barcasse avec juste les oreilles qui prenaient le vent. Un peu comme il se positionnait au seuil de la porte de leur chambre. Puis elle revécut la caresse du premier soir, sur sa vulve. Se traitant de folle, de cinglée elle tenta d’oublier la scène. Rien n’y faisait pourtant et ses pensées revenaient sans cesse sur… cette abominable langue qui la faisait frissonner en passant et repassant sur sa fente. Elle se traita d’idiote, de conne et même plus crument de « salope ». Si Michel pouvait deviner… Elle entendait, pour faire bonne mesure, les mots que son mari ...
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