1. Réconfort et vieilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie (1)


    Datte: 23/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Je vous ai raconté dans les histoires précédentes comment, depuis le début de mon veuvage, je m’étais aperçu que les veufs attirent les femmes – et surtout celles d’âge mûr – comme le sucre attire les guêpes. J’avais un peu profité de la situation, je l’avoue (bon, je n’avais pas eu trop à les chercher, et c’étaient même elles, parfois qui m’avaient aguiché) et je m’étais offert de belles parties de jambes en l’air avec des dames d’un âge vénérable. Et en fait, je m’apercevais que plus le temps passait plus j’aimais tringler les vieilles biques, enfiler les vieilles chouettes, empapaouter les vieilles peaux (à condition qu’elles ne l’aient pas directement sur les os.) J’aimais les femmes grasses, et ça de tout temps, mais en plus (et ça, c’était mon côté vicieux, pervers), j’aimais beaucoup, quand elles avaient dépassé 55 ou 60 ans, malgré leur pudeur, leurs complexes, leurs réserves, les faire se foutre à poil devant moi, en pleine lumière, et bien les mater, sous toutes les coutures, malgré leurs protestations, leur envie de se dissimuler. Et si ce tabou s’avérait, chez l’une d’elles, vraiment absolu alors tant pis, je préférais laisser tomber et m’en aller. J’aimais bien outrager leur pudeur, passer outre leurs pudibonderies, leurs petites réticences, mais si je tombais sur une coincée, je jetais l’éponge. Au-revoir et basta. Pas la peine de perdre mon temps. Faire l’amour dans le noir, sous les draps, les bras en croix et les jambes jointes, je ne voyais pas l’intérêt. ...
    ... Ç’aurait pu être le début d’un jeu choisi, à tout prendre, mais pas une règle imposée par la morale ou par une pruderie obstinée et inébranlable. J’en étais arrivé à un point tel, que quand j’entendais parler au travail des jeunes secrétaires de leurs mères, je me mettais à penser et à fantasmer sur ces mères que je ne connaissais pas, et non pas sur elles. - - - J’avais peur de finir par être connu dans le quartier, mais outre ma voisine d’en face qui ne perdait pas une occasion de venir me voir à l’improviste - dès que son mari n’était pas à la maison quand elle savait que j’étais là - pour se faire fourrer vite fait bien fait, avant ou après un café, parfois debout devant la table de ma salle à manger (il faut dire que la chienne y avait pris goût, et qu’elle débarquait exprès sans culotte sous sa robe pour que je puisse facilement la trousser et mettre son fessier à l’air, que je n’avais plus qu’à enfiler tandis qu’elle avait écarté largement les cuisses et s’était cambrée pour me faciliter le passage), je ne peux pas me dire que je me faisais harceler sexuellement par les femelles du coin. Il y avait bien une ou deux voisines qui me faisaient des petits gestes charmants de la main quand elles partaient en voiture et me voyaient, en passant devant chez moi, mais pour moi, ça n’était que le signe d’une exquise politesse que je trouvais touchante. Pour en revenir à ma voisine d’en face, j’avais accepté son empressement à me rejoindre souvent, comme son intrusion qui était ...
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