1. Réconfort et vieilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie (1)


    Datte: 23/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... et ses orgasmes démesurés. zfmzwwox Elle venait pour ça, la chienne, et elle n’avait que la rue à traverser. J’espérais que personne dans les maisons voisines ne remarquait ce manège, mais qui aurait pu soupçonner cette retraitée à qui on aurait donné le bon dieu sans confession. Comme elle n’était jamais déçue de l‘aboutissement de nos parties fines, je me permettais de jouer avec elle, de la faire languir, d’être de plus en plus exigeant dans ce que je lui demandais de faire pour que je daigne la tringler et l‘envoyer au septième ciel. Je lui demandais par exemple de monter sur ma table de séjour, de se mettre à quatre pattes, et de s’écarter les fesses dans une posture d’attente. Ou bien je lui demandais d’aller prendre une belle carotte dans mon frigo, de l’enduire de beurre, puis de revenir et de se l’enfiler dans le cul, puis de la faire aller et venir lentement tout en restant debout face à moi et de me fixer dans les yeux, et de me décrire ce qu’elle ressentait ; je n’étais jamais déçu ! Parfois je lui disais que j’exigeais de l’entendre en confession avant de commencer à la toucher. Elle devait se mettre à genoux à côté de ma chaise, et la robe relevée sur ses reins, découvrant sa croupe nue, elle devait me raconter ce qu’elle avait rêvé, ce à quoi elle avait pensé dans son lit le soir, ce qu’elle avait espéré faire avec moi dans l’attente de ce jour. Elle me racontait avec force détails et une grande excitation tous ses fantasmes, tout ce qu’elle avait imaginé. Je ...
    ... lui ordonnais de passer une main entre ses cuisses et de se masturber tout en me racontant ces turpitudes. Ça me faisait un effet bœuf de voir cette sexagénaire se branler lentement comme une gamine. De temps en temps je lui tripotais les fesses et elle soupirait profondément en fermant les yeux. Je lui ordonnais de garder les yeux ouverts. A la fin je l’absolvais de tous ses péchés, mais en pénitence, elle devait ouvrir la bouche et prendre ma queue raide et dure bien au fond de sa gueule : elle suçait divinement bien, qu’est-ce qu’elle s’appliquait, la petite garce ! Elle aimait bien entendu être fessée, à plat ventre et à poil en travers de mes genoux et sur mon canapé, ou à genoux sur ce dernier. Elle savait que je ne fessais pas très fort, que je ne voulais pas lui laisser de marques visibles, et je la touchais, la pelotais entre deux, sa chatte bavait, je lui branlais les seins, lui roulais des pelles, mais les claques on les entendait bien, dans mon salon ! Ça se terminait bien évidemment pas une vigoureuse levrette, mais je lui faisais bien comprendre qu’il ne fallait pas qu’elle abuse, qu’il ne fallait pas qu’elle fasse semblant d’être une vilaine fille, qu’elle ne m’invente pas des fautes morales ou qu’elle ne feigne pas d’être désobligeante, désagréable ou incorrecte pour que je lui donne ce que je n’avais pas envie de lui donner. Bien que peu diserte sur sa vie intime, elle m’avait lâché un jour, tandis que nous partagions notre café, que son mari ne la possédait ...