1. Bonus Malus (8)


    Datte: 24/11/2018, Catégories: Trash,

    ... Portugais sont également très bien montés, je peux vous l’assurer ! Toujours est-il que j’ai immédiatement commencé à masturber cette belle et grosse verge pendant qu’il m’enivrait de plaisir avec sa langue et ses doigts. L’orgasme qui m’a submergé a été long et magnifique mais ne m’a pas assommé, au contraire. J’ai aussitôt glissé au pied de mon bureau et ai pris en bouche ce sexe immense. Je ne savais même pas s’il avait prévu de se faire sucer mais j’en crevais d’envie. Je lui ai donc fait la meilleure pipe possible en dévorant le membre que j’avais pourtant bien de la peine à avaler. A mon tour, je lui faisais plaisir par mes caresses buccales que j’essayais de varier au maximum. Je léchais sa hampe, pompais son gland, avalais ses testicules, essayais de m’enfoncer le sexe aussi loin que possible dans mon gosier… Bref, je le suçais comme une folle, comme jamais je n’avais sucé mon mari… Il m’a alors annoncé, que si je continuais à ce rythme, il allait bientôt craquer. J’ai alors été submergé par un sentiment de fierté mais entaché de déception car j’avais envie de pleins d’autres choses. Je me suis alors redressée tout en lui tenant le sexe et me suis assise sur le bureau en le tirant entre mes jambes. Et alors que son gland effleurait mon vagin, il a hésité « Vous êtes sûr, Madame ? ». En guise de réponse, j’ai tiré son sexe vers moi pour enfoncer son gland dans mon vagin, puis j’ai levé bien haut les jambes en lui disant de me défoncer et de se finir en moi. Jamais je ...
    ... n’aurais pensé un jour demander cela à un employé, sur mon lieu de travail. J’étais devenue une pute doublée d’une salope parce que j’aimais ce qu’on me faisait. En tout cas, lui aimait aussi car il m’a pénétré doucement puis a commencé à me baiser en râlant de plaisir. Moi, je ne râlais pas, je gémissais, je criais presque tant le plaisir était intense et tant que me sentais remplie, dilatée. Après avoir commencé doucement, il a accéléré le rythme et m’a furieusement baisé sur mon bureau, sur mes documents de travail, à côté de la photo de mon mari et de mes enfants. Mais je n’ai pas eu un regard envers cette photo, je me contentais de fermer les yeux, envahie par la jouissance et je me malaxais les seins au travers de mon haut qu’il ne m’avait pas retiré. A part mon string, il ne m’avait retiré aucun vêtement et me défonçais toute habillée, presque à la sauvette. Comme il l’avait annoncé, il n’a pas été long à craquer et, à ma demande, il est venu en moi et m’a remplie. Puis il a rapidement quitté la pièce après avoir rajusté son pantalon, en me remerciant et me laissant, épuisée sur mon bureau. J’étais allongée, jambes écartées, le sexe dilaté suintant de sperme qui me coulait le long des cuisses. J’étais lamentable. Et infidèle, c’était officiel. — Quelle histoire, en effet. Je note que, comme vous l’aviez dit, c’était un accident puisque, finalement, c’est vous qui avez demandé à avoir une relation sexuelle. — C’est vrai, même si pour me déculpabiliser, je me suis dit ...