Bonus Malus (8)
Datte: 24/11/2018,
Catégories:
Trash,
... qu’avec le nombre de point bonus qu’il avait, il aurait pu me baiser de toute façon… — Et concernant le fait qu’il vienne en vous, c’est un acte très intime. Et les maladies ? — Je m’en rendais compte en effet alors qu’avec ma main, j’essayais d’empêché tout ce sperme de couler sur mes jambes ? Je me suis dit que ce mec venait de me remplir et que je ne le connaissais pas. Après, depuis que le vaccin contre le Sida existe, on ne risque rien de bien grave mais bon, j’ai quand même été faire un test après cette expérience et j’ai ensuite exigé soit un test négative pour les MST soit un préservatif. — Cela signifie donc que, rapidement, d’autres agents ont voulu avoir le même genre de relation avec vous ? — Évidemment… J’imagine que Miguel a dut raconter cela à ses collègues qui, du coup, ont voulu la même chose. Mes semaines se sont donc chargées car, en plus des habituelles séances d’allumage en public ou de pelotage, je me faisais sauter régulièrement. — Régulièrement ? A quelle fréquence aviez-vous des rapports sexuels ? — C’était très variable et, forcément, dépendant du nombre de points de mes agents. Parfois je passais à la casserole deux fois dans la même journée, parfois il pouvait se passer une semaine sans que personne ne vienne me voir. Le plus que j’ai eu, c’était, il me semble, 5 ou 6 rapports en une semaine, plusieurs fellations et une séance avec une femme. Sans compter les petits jeux d’exhibition. — 5 ou 6 rapports ! A vous aviez en plus, j’imagine, votre ...
... mari à contenter… — En effet, d’autant qu’il est également très demandeur ! Bref, certaines semaines, je passais mon temps à baiser et à jouir… — Et vous est-il arrivé de refuser une demande ? — Bien sûr, souvent même. Déjà, je refusais des demandes exagérées qui ne correspondaient pas aux bonus dût. Ensuite, je refusais les actes que je jugeais dégradant. Par exemple, un employé m’a demandé que je le laisse me pisser dessus ! Lui, non seulement il n’a pas eu ce qu’il voulait mais en plus il s’est pris un sacré malus pour avoir, clairement, manqué de respect à sa directrice ! Au début, j’ai aussi refusé qu’on me sodomise, même je suis devenue de plus en plus ouverte à ce sujet à la longue (rires) !! Et puis, j’ai aussi refusé certaines demandes de personnes que je trouvais franchement laides ou trop vieilles, etc. En gros, je n’acceptais que ce que j’avais envie de faire, ou en tout cas ce qui ne me rebutais pas totalement. Et c’est pour cela que je ne me suis jamais considérée comme une prostituée : je ne me suis jamais enrichi personnellement avec ce service et on ne m’a jamais rien imposé. — Je comprends la distinction. Vous nous avez parlé d’une femme, plus haut. Vos collègues féminines étaient donc aussi des habituées de votre système ? — Habituées, non. Sur l’ensemble de mes collaborateurs, j’avais en fait 2 lesbiennes et une hétéro « curieuse » si je puis dire que venaient, de temps en temps me solliciter. Honnêtement, les deux lesbiennes n’étaient pas très jolies et ...