1. Le mâle dominant et un couple très spécial. 3


    Datte: 24/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Le mâle dominant a un rendez-vous avec un couple. Mais pour une fois, ce sera très spécial pour lui. 3 Audrey gifle avec violence Claude mais se repend vite de sa réaction et enlace son neveu dans ses bras. Elle sent contre sa cuisse le mandrin gluant se mélanger aux trainées de foutre qu’elle expulse de sa chatte à chaque contraction de ses muqueuses. Tel un phénix, la chose flasque renait de ses cendres au contact de la peau de sa tante et reprend de la vigueur avant d’être coincé dans son entrejambe. -Mais que… Suite. -Pardonne-moi ma tante mais je ne peux rien y faire, tu es trop bandante ! Et vlan, une deuxième baffe. Son mari la regarde, il rebande lui aussi. - Ne fais pas ta mijaurée, tu en crèves d’envie de branler cette grosse bite ! Il rajoute à l’attention de son neveu, mais lui aussi il a additionné un et un: - Allez salope, dit lui que tu veux qu’il te baise, petite garce, j’attends… Et toi Claude, tu peux faire d’elle ce que tu veux ! Audrey a les larmes aux yeux, elle voudrait s’enfuir mais la barre entre ses cuisses agit comme un aimant. -Au diable les convenances ! Elle tombe à genoux et approche sa bouche de la bite, l’ouvre le plus grand possible et gobe le gland démesuré. Elle tète difficilement le chapeau de ce beau cèpe noueux, en lèche la peau si fine, sa langue en agace le frein. La tête du champignon se fraie un chemin dans sa bouche déformée par le colosse de chair. Il grogne de bonheur et entend comme dans de la ouate les questions de son oncle. ...
    ... -Tu dois avoir du succès auprès des femmes ? Et depuis quand tu fais le gigolo ? Il répond d’une voix chevrotante tellement sa tante s’active avec acharnement sur son organe. -Pour les femmes, il est vrai que depuis quelque temps, j’ai l’embarras du choix. Pour la deuxième question, j’hésite à répondre… Oh et puis zut ! Au point où on en est ! Un jour que je couchais chez vous,Léna est rentré dans ma chambre, elle vous avait surpris en train de vous envoyer en l’air et ça l’avait tellement chauffée qu’elle a sauté sur mon lit, arraché le drap et tiré sur les jambes de mon pantalon de pyjama. C’est là que j’ai réalisé que j’avais entre les jambes un piège à filles. Elle n’en revenait pas de ce qu’elle avait découvert et elle a voulu savoir si la machine était en état de marche. En un rien de temps, elle m’a fait bander comme un taureau et je n’ai pas tenu plus d’une minute avant d’envoyer la purée. Je crois que ce jour là fut celui où j’ai eu ma plus grosse éjaculation, je n’arrêtais pas de me vider. Elle a passé ensuite une partie de la nuit à se doucher, nettoyer le tapis et à essayer de sauver ses habits complètement souillés. -Décidément, le coupe Audrey, on est une sacrée famille de dépravés ! Même ma fille… Claude reprend ses explications : -Ensuite, on se donnait du bon temps à l'occasion jusqu’au jour où pour se venger de quelques abrutis, elle m’a amené dans cette maison où il y avait un anniversaire et où j’ai tronché toutes les poufiasses présentes devant leur petit ...
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