1. Le mâle dominant et un couple très spécial. 3


    Datte: 24/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... difficile car la longueur inusité de cette teub l’oblige à une sacrée gymnastique pour en astiquer le plus possible. Claude ne peut bientôt plus se retenir : -Aaahhh ! Je vais jouir... Tu es une diablesse Audrey ! Elle est assise sur lui, l’énorme bite est à l’air libre entre ses cuisses et elle la branle pour en faire sortir le jus. Elle regarde fièrement avec un air de défi son mari qui s’est approché pour assister au spectacle etlui propose comme si cela allait de soi : -Il est prêt à gicler… Tu ne veux pas en profiter ? Claude n’en croit pas ses yeux et ses oreilles. Pas dégouté du lieu ou a trainé la bite, il se saisit de sa queue prête à cracher et l’engouffre dans sa bouche. Il suce et branle la lance qui ne demande qu’à se vider. Même si Claude voulait se retenir, il ne le peut plus et gicle…gicle… Son sexe raidit envoie une quantité impressionnante de sperme au fond du gosier de son oncle qui se gave de l’élixir blanc n’en perdant pas une goutte. La semence s’écoule dans sa gorge, il savoure le goût suave et légèrement âcre de cette liqueur dont il se délecte. Un peu plus tard, Audrey est sous la douche. Claude la rejoint et la prend une nouvelle fois, debout. Elle s’appuie à la paroi et le laisse la piner avec ardeur en fixant du regard son mari, que semble exciter la vigueur exceptionnelle de son neveu. Comment peut-il encore bander après ses exploits précédents ? Claude ne ...
    ... la ménage pas et accélère ses coups de reins en se retenant pour ne pas glisser des deux mains aux seins de sa tante. Il la traite de salope, de pute, de femme à bites devant son mari qui se branle en la regardant se faire mettre par ce gamin chétif qui cache bien son jeu, mais il admire les capacités sexuelles de ce petit con qui baise comme un étalon. Claude la travaille en rythme, la pénètre au plus loin qu’elle peut en supporter, se retire à la limite des lèvres vaginales avant de replonger à nouveau dans la chatte. Audrey a les larmes aux yeux, elle aime son neveu d'amour maternel et de celui d’une amante pour son amant. Elle coule comme une fontaine, ne se préoccupant plus comment elle en est arrivé à une telle déchéance, au péché ultime. De la perversité de l’acte mais dont à l’avenir, elle ne pourra plus se passer. -Audrey, je jouis pour toi ! A ces mots, elle tourne la tête et admire son neveu qui jouit en elle. Elle l’embrasse pendant qu’il se vide les couilles si généreuses. Elle râle de plaisir et de joie. Quand enfin il se retire, elle serre le périnée pour expulser le sperme de son vagin qui se dilue sous les jets d’eau et finit dans le bac à douche avant de disparaître dans le siphon. Ils sont prêts à repartir, à rejoindre la maison. Elle ne pense qu’à une chose, à revivre encore une fois cette expérience contraire aux bonnes mœurs. Vivement ces prochains jours……………………… 
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