1. La conquête d'une collègue


    Datte: 24/11/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio,

    Depuis plusieurs années, je désirais une charmante collègue de travail, Anne, désormais une délicieuse trentenaire. Pendant des années, elle se refusa à moi, et je trouvais que cela était d’autant plus un beau gâchis que, « fiancée » à un étranger habitant dans une autre capitale européenne, qu’elle ne voyait qu’un week-end de temps en temps, elle devait avoir une vie sexuelle assez réduite… J’avais fini par me faire une raison et me convaincre qu’elle n’était guère portée « sur la chose », jusqu’à cette soirée, il y a quelques semaines. Nous travaillions chez elle sur un article que nous devions rédiger en commun. Soudain, le téléphone sonna. Anne répondit en langue étrangère : c’était son compagnon. Je compris à la conversation qu’il annulait sa venue à Paris pour le prochain week-end, à cause d’obligations professionnelles. Anne était furieuse : retenue par un colloque, elle n’avait pas pu aller le voir la semaine précédente et, à cause d’un problème de transport de dernière minute, ils ne s’étaient pas non plus retrouvés deux semaines plus tôt. La conversation fut rude. Quand Anne raccrocha, son exaspération semblait être à son comble et, assis sur le canapé, je finis par lui demander si je pouvais faire quelque chose pour elle. C’est probablement sur un coup de tête qu’elle me fit cette réponse aussi brève que surprenante : — Oui, l’amour. Et joignant le geste à la parole, elle commença à se dénuder : elle ôta son corsage, fit glisser sa jupe à terre et dégrafa son ...
    ... soutien-gorge, libérant ses magnifiques seins sur lesquels je fantasmais depuis si longtemps. Après un moment d’hésitation, elle se débarrassa rageusement de sa culotte, mettant au jour une excitante toison brune. Je restai si interdit de voir Anne totalement nue devant moi qu’elle finit par me dire qu’il fallait que je fasse quelque chose, parce que sinon « elle avait l’air conne d’être à poil devant moi ». En fait, je n’avais nullement l’intention de rater une occasion que j’attendais depuis si longtemps. Je me suis levé, ai pris Anne par la main et l’ai conduite dans sa chambre. Je retirai mes vêtements. La nudité d’Anne m’avait excité et je bandai dur. Anne s’était couchée sur le lit, jambes écartées, offerte. J’ai commencé par la couvrir de baisers et caresser sa peau si douce. Un cunnilingus me permit de constater qu’elle était aussi très excitée. Elle gémit et murmura : — Baise-moi. Jamais ordre ne fut si agréable à exécuter. Je la pénétrai. J’étais à peine dans son intimité qu’elle eut un orgasme qu’elle ne chercha nullement à dissimuler. Anne était en manque de relations sexuelles, cela se voyait et s’entendait. J’allais et venais en elle. Je faisais des efforts désespérés pour ne pas jouir. Je voulais faire durer le plaisir et j’étais un peu inquiet : je ne savais pas si elle prenait la pilule, ses rapports sexuels étant espacés, et je l’avais entendue évoquer ses désirs d’enfant. Mais les contractions de son vagin, le plaisir que je tirai de la situation furent trop ...
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