La conquête d'une collègue
Datte: 24/11/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
... forts et je ne tardai pas à envoyer des giclées de sperme au fond de son vagin. L’avoir possédée sous le regard de son fiancé, dont la photographie était sur sa table de nuit, avait ajouté du piment à la situation. Après cette étreinte brutale vint l’heure des confidences sur l’oreiller, pendant que je continuai à l’embrasser et à caresser sa poitrine. Elle commençait à réellement souffrir de la faible fréquence de ses relations sexuelles du fait de l’absence de son compagnon, à qui elle reprochait de privilégier sa carrière. — Je n’ai rien contre me faire du bien toute seule dans mon bain , me dit-elle, mais cela n’empêche pas d’avoir envie de se faire sauter au moins une ou deux fois par semaine : une jolie trentenaire peut bien baiser plus d’une fois par mois. Nous sommes restés un long moment dans les bras l’un de l’autre, à nous caresser. Anne avait envie de recommencer, mais je n’étais pas encore en état. Elle proposa alors que nous en terminions avec cet article, le temps que je retrouve mes moyens. Auparavant, elle alla dans la salle de bains pour se nettoyer, mon sperme coulant le long de ses cuisses. Je l’accompagnai sous la douche, où nous avons continué à nous toucher. La boîte de contraceptifs qui était bien en vue me rassura. C’était d’ailleurs l’heure, visiblement, et Anne avala sa pilule devant moi, en me faisant remarquer : — Pour une fois que c’est utile. Puis elle réenfila sa culotte et remit son corsage, qu’elle ne boutonna pas, de façon à ce que je ...
... puisse à loisir contempler ses appâts pendant que nous travaillions. Pour ma part, je m’étais rhabillé. Pendant que nous travaillions, sa main branlait discrètement mon sexe à travers mon pantalon. Grâce à ses efforts, je commençai à redevenir un amant possible et, dès notre tâche accomplie, elle fit de nouveau valser corsage et culotte et nous sommes retournés au lit. Anne jugea pourtant nécessaire d’intervenir encore plus. — Si je ne fais pas tout moi-même, soupira-t-elle, avant de prendre mon membre en bouche. Cette brillante universitaire était aussi une remarquable fellatrice et je retrouvai toute ma vigueur. Anne en profita immédiatement pour prendre mon sexe en main, l’introduisit dans sa chatte et commença à me chevaucher dans la position que certains appellent « d’Andromaque ». C’était une sensation géniale. Il n’y avait pas l’urgence du premier rapport, Anne imprimait son rythme à la pénétration et j’avais tout loisir d’admirer et de caresser sa poitrine. Après un long moment à monter et descendre sur mon sexe, Anne se dit fatiguée et demanda à ce que nous changions de position. Elle se mit alors à quatre pattes sur le lit de façon à ce que je la prenne en levrette. C’est dans cette position qu’elle a atteint à nouveau la jouissance et que j’ai une deuxième fois éjaculé en elle, sûr désormais, qu’elle n’allait pas me faire un enfant dans le dos. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. Le lendemain, je me suis réveillé avec une belle érection matinale. Je ...