13:55, A. m'attend
Datte: 25/11/2018,
Catégories:
fh,
hotel,
fsoumise,
hdomine,
pénétratio,
fsodo,
jouet,
jeu,
champagne,
sm,
yeuxbandés,
fouetfesse,
extraconj,
h+medical,
... le long de ses cuisses qui se contractent dans un spasme nerveux à chaque fois que la cravache siffle et s’écrase sur ses chairs brûlantes. Lorsque les deux hémisphères ont pris la couleur rosée d’un beau coucher de soleil, je m’arrête enfin. Je dépose la cravache et viens sans un mot caresser ses cheveux et poser doucement ma main sur son sexe trempé et meurtri. Cette privation sensorielle et la différence absolue entre la douleur cuisante et la tendresse de mes gestes produisent chez A. un apaisement soudain. Son corps soudainement tout ramolli, elle se laisse aller totalement entre mes bras. Après de longues minutes pendant lesquelles A. reprend son souffle et redescend de son Éden suppliciel, je me lève alors pour nous servir deux coupes de champagne. Je lui dis alors de s’asseoir sur le bord du lit et de prendre tout le temps qui lui sera nécessaire pour être en état de poursuivre nos jeux. Après une petite demi-heure à discuter tranquillement et à finir le champagne avant qu’il ne s’évente, je sens que A. est prête à reprendre nos ébats. Je décide alors de me mettre nu, ce sera beaucoup plus simple. De même, je dégrafe le magnifique soutien-gorge en dentelle d’A. et l’abandonne presque à regret sur la moquette, mais le spectacle des seins splendides de ma partenaire qui s’offrent à ma vue me console bien vite. Nue, ne portant que le bandeau, son porte-jarretelles, ses bas et sesLouboutin, A. est tout simplement magnifique, l’ultime expression de ce qu’on appelle le ...
... porno chic. Je lui chuchote à l’oreille qu’elle est belle, que j’ai très envie d’elle… D’ailleurs, instantanément, entre mes jambes, ma queue commence à reprendre une certaine rigidité. Ses seins m’étant maintenant offerts, je les caresse, je joue avec ses tétons… Comme elle ne voit rien, le bandeau toujours sur les yeux, ses sensations sont décuplées, je le sens à son souffle qui s’accélère. Prenant ses seins dans mes mains, je les lèche l’un après l’autre. Ma bouche excite ses tétons qui deviennent de plus en plus durs et j’en profite pour les mordiller doucement. A. gémit à nouveau et, sadique, c’est le moment que je choisis pour cesser à nouveau tout contact. Je me relève afin qu’elle ne sache pas où je suis. Je jubile de la voir désemparée, en attente de moi, de mon bon plaisir. En parlant de mon plaisir, il est temps que je m’en préoccupe aussi, après avoir avant tout cherché à éveiller le sien. Je saisis sa chevelure blonde comme les blés et je la force à tourner la tête. Elle sait ce qui l’attend, alors elle ouvre une bouche gourmande, attendant avec avidité que je lui donne ma queue à sucer. Je lui ordonne alors de prendre mon sexe dans sa bouche. — Oui, Monsieur ! À peine un aller-retour dans sa bouche que déjà je me retire puis caresse doucement ses lèvres avec la pointe de mon gland. Je promène alors mon sexe sur son visage, sur ses joues avant de l’enfoncer à nouveau dans sa bouche vorace. Elle me suce avec passion, me dévore, me déguste, me savoure… Elle jette ...