1. Chronique - Cinquième partie


    Datte: 25/11/2018, Catégories: fh, grossexe, vacances, fête,

    ... je suis dans un bon jour… alors, je vais vous proposer quelque chose. Vendredi, Tony donne une soirée comme il les aime, avec plein de monde, de la musique et tout ce qu’il faut… alors si vous voulez, je peux m’arranger pour vous faire inviter, qu’est-ce que vous en dites, ce serait sympa, non ? C’est un seul cri qui sort de nos bouches : — Mais cela serait formidable !— Alors OK ! Donnez-moi un numéro de portable, que je puisse vous confirmer demain – il sourit –, mais je vous avertis, elles sont quelquefois assez particulières, les soirées données par Tony… surtout, que vendredi, il paraît qu’il y aura quelques stars du cinéma porno ! Mais bon, en attendant, vous reprendrez bien un verre avec moi, non ? C’est confirmé, pas de soucis ; Simon nous attendra à la sortie de la ville pour nous guider, la maison de l’idole n’étant pas particulièrement facile à trouver, comme toutes les propriétés d’artiste, d’ailleurs. En attendant, Stéphanie ne tient plus en place. Et je ne sais pas ce qui l’excite le plus, rencontrer son idole ou côtoyer des gens du cinéma porno ! Pas mal, la propriété de la vedette, c’est le moins que l’on puisse dire ; cachée au fin fond de la campagne varoise, bien à l’écart des routes principales. Simon nous a expliqué qu’il s’agit en fait d’une ancienne bergerie aménagée ; moi, je veux bien, mais vu la taille du bâtiment, c’était sûrement, une bergerie prévue pour abriter plusieurs troupeaux… et il y a même un logement pour les gardiens. Des voitures ...
    ... garées en tous sens, voitures de luxe, pour la plupart, mais pas que, et donc, apparemment, pas mal de monde ; notre guide nous drive jusqu’à l’entrée du bâtiment principal. — Voilà, vous êtes sur place, je vous laisse, moi, vous ne me verrez pas, j’assure la sécurité, à l’extérieur – t il ajoute, avec un clin d’œil malicieux – amusez-vous bien… Oui, bien sûr, mais le problème, pour Stéphanie et pour moi, c’est que nous sommes ici en terre inconnue, et nous ne connaissons personne… On entre, une grande pièce aux murs blanchis à la chaux dans laquelle s’affaire un groupe de musiciens, et puis le patio, plein de monde, au moins une trentaine de personne, de tous âges, en majorité des gens du show-biz, sans doute. Une musique assourdissante, sur laquelle dansent, ou plutôt gesticulent, quelques couples ; d’autres sont affalés, le verre à la main, sur des bancs recouverts de coussins ; en tout cas, tous ont un point commun, outre de jacasser, c’est d’être légèrement vêtus, et même très légèrement pour certaines. Pas de smoking ni tenues de soirée, mais pantalons légers ou bermuda pour les hommes, robes ou jupes ultra courtes pour les femmes. En tout cas, il y a quelques jolies filles, ici ! Un type jeune, vêtu d’un tee-shirt fuchsia et d’un bermuda à fleurs multicolores nous interpelle : — Salut ! Soyez les bienvenus, moi c’est Erwan. Vous êtes nouveaux ? Je ne vous ai jamais vus… Remarquez, il vient tellement de monde, ici ! Et je crois que nous allons passer une bonne soirée, parce ...
«12...456...12»