1. Nadine, la vengeance d'une maman (18)


    Datte: 07/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Les jours suivants, nous ressemblons à deux jeunes mariés en pleine lune de miel ; nous sommes incapables de nous rassasier l’un de l’autre. Comme il fait une chaleur suffocante, nous ne regagnons la chambre qu’à la nuit tombée, quand l’atmosphère redevient respirable. Pendant des heures, je caresse passionnément le corps de ma mère ; je la prends de toutes les façons, dans toutes les positions. Au petit matin, épuisé et repu, je sors de son lit et retourne dans le mien où je dors d’un sommeil de plomb… Tous les après-midi, je révise mon bac dans le salon. Un jour, Maman s’approche de moi le regard attendri. Elle s’assied sur mes genoux, me félicite, me câline avec l’affection d’une mère poule fière de son rejeton. J’apprécie particulièrement ces moments de chaste complicité que nous partageons. Il n’y a pas que le sexe dans la vie ! Elle ne porte qu’une fine robe à bretelles, qu’elle a enfilée à même la peau ; son corps avachi pèse sur le mien, il diffuse sa douce chaleur dans mes reins. Je pose ma main sur son genou, la fait glisser entre ses cuisses qu’elle écarte pour me livrer le passage. Je remonte lentement. Elle n’a pas de culotte... Nos étreintes ne restent jamais platoniques longtemps ! — Oh, Maxime… Tu travailles beaucoup trop … Tu devrais faire une pause, mon chéri ! Malgré nos nuits agitées, elle en redemande. Je ne sais pas quelle mouche l’a piquée, mais je suis tout émoustillé ; je me relève et l’entraine vers sa chambre en la tirant par la main. Elle ...
    ... s’agrippe à mon cou, enfouit son visage dans le creux de mon épaule, comme si elle se sentait trop coupable pour affronter mon regard. — Dis-moi franchement, Maxime… Sois honnête avec moi… Ces choses que nous faisons tous les deux… ce n’est pas normal, tu ne trouves pas ? Comme tu vas m’en vouloir, plus tard ! Il lui arrive encore, surtout lorsqu’elle est particulièrement excitée, d’éprouver une culpabilité non feinte qui la plonge dans un désarroi total. — Mais qu’est-ce que tu racontes, tu es folle ou quoi ? Je t’aime, Maman… Je t’aime d’amour, tu ne comprends pas ? — Oh Mon Dieu… Tu étais sérieux dans la voiture ! Tu es vraiment amoureux de moi ? Mais je suis ta mère, Maxime… Il ne faut pas que tu m’aimes autant… pas de cette façon ! Je prends sa main, la pose sur ma braguette. Ses doigts défont fébrilement les boutons, se faufilent dans mon slip, se referment autour de mon sexe. — Tu vois l’effet que tu me fais ? Tu sens comme je bande pour toi ? C’est justement parce que tu es ma mère que c’est si bon… parce que c’est défendu que ça me plait autant ! Elle me regarde les yeux écarquillés, mais elle n’arrête pas pour autant d’agiter sa main dans mon pantalon. Jamais, même au plus fort de sa dépression, elle n’a paru aussi vulnérable qu’en ce moment. Je ne lui laisse pas le temps de digérer l’information. Je la déshabille, me déshabille à mon tour. Nus tous les deux, nous tombons sur le lit. Je l’enlace et elle m’étreint. Nous frissonnons, baignons dans nos sueurs mélangées… Une ...
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