1. Nadine, la vengeance d'une maman (18)


    Datte: 07/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... fois - je la baisais depuis peu - Maman est entrée dans ma chambre à l’improviste, et elle m’a surpris en train de me branler devant des vidéos d’inceste japonaises. Elle avait l’air sidérée ; aucune femme ne supporte qu’on se masturbe encore dès lors qu’elle s’est donnée. Elles s’imaginent toutes, avec ce mélange de candeur et d’arrogance qui les caractérise, qu’offrir leur chatte représente le cadeau ultime dont un homme puisse rêver. Elles ont la prétention de croire que parce qu’elles écartent les cuisses, elles nous engagent pour l’éternité à ne jamais regarder plus loin que leur con. Ce jour là, j’ai voulu lui montrer ce qui m’excitait autant, afin qu’elle comprenne. Elle a vu, sur l’écran, le genre de relation que partagent une mère et son fils dans ces films pornos. Ils s’embrassent avec une perversité inouïe, et ils s’abandonnent l’un à l’autre avec un abandon que je n’ai jamais retrouvé nulle part ailleurs. J’embrasse ma mère la bouche ouverte ; nos salives se mélangent. Nos langues se lèchent avidement, avec la même fougue et la même passion que dans les films en question. Je m’installe entre ses cuisses, guide mon sexe d’une main, promène mon gland dans ses poils. Elle est trempée, s’ouvre sous la poussée, mais elle me repousse au dernier moment. — Attend mon chéri, pas tout de suite… je veux te prendre dans ma bouche d’abord… Elle est vraiment d’humeur salope aujourd’hui, aucune trace de remord ne subsiste sur ses traits, alors j’ai une autre idée. — D’accord… ...
    ... Mais alors moi aussi… Tous les deux… Elle n’a pas l’air de comprendre tout de suite, et puis elle se renfrogne quand elle réalise. Chaque fois que je lui propose une nouveauté, elle s’empourpre, elle joue les vierges effarouchées. Je m’allonge sur le dos, la queue raide, le gland violacé. — Viens sur moi, Maman … Voilà, comme ça… à l’envers… dans le sens contraire… Je la guide, l’encourage pendant qu’elle s’installe tête-bêche. Le sexe oral n’a plus de secret pour nous, pourtant nous ne nous sommes encore jamais sucés de cette façon : tous les deux en même temps. Elle cueille mon sexe entre ses lèvres, sa langue onctueuse s’enroule autour de mon gland, et elle écrase, inexorablement, sa vulve sur ma bouche qui l’attend. Je la lèche, lui triture les fesses, le nez enfoncé dans son anus. Même quand je la sodomise, je n’éprouve pas une telle complicité avec son cul adoré. Elle se soulève régulièrement, pour me permettre de reprendre mon souffle, et puis elle redescend sur mon visage. Je la tète longtemps, goulument, pendant qu’elle me suce voracement… Chacun de nous est si attentif à donner du plaisir à l’autre que nous n’entendons pas le bruit que fait la clé dans la serrure. Quand la porte d’entrée claque, il est presque déjà trop tard. — Il y a quelqu’un ? Nadia ! Tu es là ? Une petite parenthèse : Ma mère s’appelle Nadine. Mais pour mon père - et pour la plupart des gens - c’est Nadia. Sauf pour moi. Pour moi, ce n’est ni Nadine ni Nadia, pour moi, c’est Maman. Et ce n’est pas ...