Cocu or not cocu
Datte: 26/11/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
collection,
amour,
... pu s’empêcher d’évoquer à nouveau l’incident : — Tu as vu comme elles étaient méchantes avec moi, a dit mon épouse. Elle s’était blottie contre moi, et je la sentais au bord des larmes. — Faut dire que tu les as presque insultées.— Comment ça ?— En leur disant que tu n’avais pas traîné, c’est comme si tu les avais traitées de traînées, et prétendre aussi que tu étais arrivée propre au mariage, c’était comme dire qu’elles n’avaient été que des dévergondées !— Ce n’était pas ce que j’ai voulu dire.— Mais c’est ainsi qu’elles l’ont perçu.— Remarque qu’il y a un peu de vrai dans ce que j’ai dit. Tu te rends compte des turpitudes qu’elles ont racontées ? Tu ne trouves pas que ce sont de vraies garces ?— Tu sais bien que ce n’est pas ma façon de voir la vie. Les femmes sont faites pour faire l’amour, le plaisir leur va à ravir, et elles auraient tort de s’en priver. C’est dans la nature des choses. C’est ainsi qu’elles se construisent et évoluent.— Alors tu regrettes que je te sois arrivée vierge au mariage !— Pas du tout, je n’ai jamais dit ça. Je t’aime telle que tu m’es arrivée, vierge ou pas vierge.— Alors, si j’avais fait l’amour avec des tas d’hommes avant toi, cela ne t’aurait pas gêné !— Pas du tout.— Moi qui croyais… Je ne l’ai pas laissée achever sa phrase, je la sentais désorientée, j’ai attiré sa bouche contre la mienne, nos langues se sont mêlées. Bon sang comme je l’aimais ! D’un mouvement du corps significatif, elle m’a attiré vers elle. Ses jambes se sont largement ...
... entrouvertes pour m’accueillir. Au contact de sa chair de velours, mon sexe s’est dressé, dur et pénétrant. Nos tensions nous appelaient à nous rejoindre physiquement. — Prends-moi, me murmura-t-elle soudainement. Je me suis glissé sans plus attendre dans son antre chaud et humide. Comme elle était douce et brûlante ! J’avais connu beaucoup de tendres femmes auparavant, mais c’est avec elle seulement que le mot aimer a pris son vrai sens. Quand je m’enfonce en elle, c’est là que ma vie entière me semble avoir sa raison d’être. Je me coule en elle et je l’aime, je l’aime et je me coule en elle. Ce soir-là, plus que les autres, nous avions besoin d’effacer nos tensions. J’avais largement écarté ses cuisses et distendu ses lèvres gonflées et gluantes de mouille. Comme elle était bonne et brûlante, ma petite fente chérie ! C’était si délicieux d’aller et venir profondément dans ce tunnel d’amour. Lorsque je suis dans cet état de passion, je peux me couler sans discontinuer pour lui prodiguer ma tendresse. Je ne prends pas mais je donne, je dispense, je vais jusqu’au plus profond d’elle, me fonds, me glisse à sa seule écoute, à son unique plaisir. Je ne suis qu’amour. Amour de sa chair, de ses parfums, de ses coulées. Elle geint, elle crie, elle jouit, et je vais et viens sans discontinuer. Quand je suis dans cette disposition-là, j’oublie tout, je me fonds en elle, je m’unis à elle jusqu’à l’extase. Ses orgasmes multiples et profonds me comblent. Sans discontinuer, je lui dis que ...