1. Joli papa Prélude 1


    Datte: 26/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... maison et quand on est arrivé au salon, je l'ai jetée plus que déposée sur le tapis de jute rêche sur lequel elle est restée prostrée. J'ai filé à la salle de bains panser ma blessure, me débarrasser de mes vêtements souillés et me passer la tête sous le robinet d'eau froide pour reprendre le contrôle de moi-même, ce qui s'est avéré plus difficile que prévu. Impossible de chasser les visions de ce petit corps, de femme parfaitement formé, à moitié nu. Impossible de ne pas revoir dans ma caboche, ces seins gonflés ni cette chatte humide. Impossible de ne pas entendre en boucle ces mots qui raisonnaient "frappe moi, fais moi mal, pitié, c'est ce que je mérite, pardonne moi..." Je bandais comme un âne, mais j'ai résisté, j'ai pris une douche glacée, refait le bandage qui n'avait pas résisté à l'eau, j'ai enfilé un jean propre sans prendre la peine de passer un slip (c'est une des raisons qui font que mes futs sont à boutons), j'ai mis une paire de baskets et je suis revenu au salon. Les explications sont longues, mais je n'ai pas mis 15mn pour faire tout ça. ----- Elle ressemblait à une poupée abandonnée sur laquelle quelqu'un se serait défoulé avant de la jeter aux ordures puis qui aurait finalement été ramassée et été mise là sans très bien savoir ce qu'on allait bien pouvoir en faire. Cette image s'est immédiatement imposée à moi et j'ai pensé en un éclair que ce n'était pas une image, mais la douloureuse réalité. Réalité douloureuse, surtout pour elle, au sens propre (bien ...
    ... qu'elle ait été particulièrement sale) comme au figuré. Moi au cas ou vous voudriez savoir j'étais en pleine forme. Les événements et la douche froide m'avaient dessaoulé mieux qu'un café salé et j'avais réussi à chasser mes démons. La blessure peu profonde tiraillait un peu, mais elle n'était pas vraiment douloureuse. Elle gisait où je l'avais laissée, prostrée en position presque fœtale, des sanglots rauques sortaient de sa gorge par intermittence. Je l'ai regardée de haut en bas en évitant soigneusement de m'attarder sur ses formes exhibées. Par chance sa position recroquevillée m'y aidait. Seule, la vue du globe opulent d'un sein blanc veiné de bleu, qui arborerait sans doute un bel hématome le lendemain, dont je me détournai rapidement, aurait pu me perturber. Malgré tout je n'ai pu m'empêcher de penser à l'image que nous donnions (Un barbare et son esclave captive après la victoire). Une fois de plus je dus chasser ces pensées qui ne pouvaient que me conduire au viol d'une gamine que j'aimais quand même comme un père, même si elle avait cassé quelque chose de précieux qui existait entre nous. ----- Quand mes pensées ont eu pris cette direction, cela m'a été plus facile. Je me suis assis dans mon fauteuil (et oui même si je suis chez moi, il y a les fauteuils et mon fauteuil personnellement à moi). Je lui ai caressé gentiment la tête, effleurant ses cheveux d'or soyeux et tout bas, car je ne voulais pas générer une crise, je lui ai dit "Ma petite Princesse aux boucles ...
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