1. Joli papa Prélude 1


    Datte: 26/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Joli papa Prélude 1 ----- Salut. Pour les "3 pelés 2 tondus" qui ont lu, joli papa, il y en a peut être un ou deux qui ont apprécié ce texte. Si j'ai vraiment du bol (c'est ma première fois), peut être même un ou deux lecteurs se seront demandés comment tout cela est arrivé. ----- En bref, je ne suis pas tout à fait le parfait salopard que vous pouvez imaginer. Tout ça, c'est un malheureux concours de circonstance. Enfin, pas si malheureux que ça et parfait salopard, je le suis devenu. Je crains qu'avec le temps cela n'empire. ----- Tout est de la faute de cette petite pute. ----- J'ai épousé sa mère qui était veuve, alors qu'elle n'avait pas 5 ans. C'était un vrai canon, petit gabarit. Le cul de JeLo, une taille de guêpe, des seins parfaits (du moins pour moi) bien gros bien fermes et un visage de madone aux lèvres pulpeuses. Ne vous faites pas de bile, je ne vais pas être trop long, mais le contexte, c'est important pour bien comprendre. Je parle de la mère, elle avait entre 20 et 30 piges.A peine plus que l'autre pute aujourd'hui. Pour la description, quand je parle de la mère vous pouvez imaginer la fille, une copie carbone en mieux. Elle a les yeux plus clairs, comme la chevelure, une peau plus pale du genre qui marque vite et bien et elle mesure un petit cm de moins soit 1,55m pour moins de 50kg, malgré son cul de négresse (c'est pas du racisme, c'est un hommage) et ses grosses loches du 105C-60-90 A peu près. ----- Vous vous demandez aussi, peut être pourquoi je ...
    ... n'emploie jamais leurs prénoms. C'est délibéré. La mère par respect post mortem pour une femme que j'ai vraiment aimée jusqu'à la fin. La petite morue, pour qu'elle n'oublie jamais qu'elle n'est qu'un vide couilles, un souffre douleur, placée plus bas dans l'échelle sociale qu'une feuille de papier cul usagée. ----- Tout allait à merveille, j'avais rencontré la femme de ma vie, sa mère. J'ai toujours été branché sado-maso, mais elle aimait bien ça. Elle aimait que je l'attache et que je lui fasse faire des trucs qu'autrement elle n'aurait jamais accepté. Vous pouvez penser que je pipotte, mais quand elle rechignait pour de bon jamais, je ne l'ai forcée. Nos séances n'ont jamais dérapé et non seulement, jamais elle ne s'est plaint, mais elle ne cachait pas son bonheur. En fait nous étions complémentaires et je ne demandais rien d'autre. J'adorais ma belle fille, je la considérais comme mienne, un parfait échantillon miniature de sa maman. Ne vous fourvoyez pas, je ne suis pas un de ces tarés de pédophiles qui se touche en rêvant de se la faire (comme quoi). Elle était notre ange blond, notre princesse, elle me considérait comme son père. ----- Le temps passant, elle a grandi quand nous avons su que parfois, (nous n'étions pas toujours très précautionneux), elle avait surpris nos ébats. Sa mère lui a expliqué, car elle était pratiquement en âge de comprendre, que c'était des "jeux d'alcôve entre adultes consentants". Je fais court parce que je sais bien que tout ce que je raconte ...
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