1. La folie du pleutre 15. Epilogue 4


    Datte: 07/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    Résumé J'entraîne Marion, ma jeune épouse, dans ma famille pour un WE que je devine susceptible d'assouvir mes fantasmes. Un vieil oncle, en partie impotent, un cousin et son pote m'ont à plusieurs reprises montré leur intérêt pour les charmes de ma femme, sans aucune considération pour moi ni pour elle. Ma mère est remariée avec un obsédé sexuel (!) qui lui aussi aimerait bien se "taper" sa belle-fille. Complice, elle assiste à la débauche de sa bru. Moi, lâche et soumis, je souhaite voir ma femme s'abandonner, à mon insu, à ses pulsions les plus dégradantes et enfin constater jusqu'où elle est prête à me trahir. On s’est couchés ensemble après ce repas pénible pour moi, alors que Marion, sensible aux avances et attouchements divers des hommes à ses côtés, a vécu cette soirée plutôt joyeusement sinon plus. Il faut dire que ces salauds n’avaient pas hésité à la chauffer et la faire boire plus qu’avec modération ! Après lui avoir fait l'amour avec passion je n'ai pas pu résister longtemps à la fatigue et au sommeil. Je me réveille et je constate que je suis seul dans le lit. J’ai la tête dans le brouillard. Il est minuit et Marion n’est plus à mes côtés. Bourrée comme elle était au moment du coucher, je suppose naïvement qu’elle doit être aux toilettes à l'étage. Je réalise que je devais aussi être bien bourré et pourquoi pas un peu drogué. Par mon beau-père ? Mon cousin et son copain ? Ma parano me joue des tours ! Je me lève péniblement pour aller à la recherche de ma femme. ...
    ... Le couloir qui distribue les chambres est dans le noir mais une fenêtre diffuse une faible lueur lunaire. Marion n’est pas aux toilettes. En face, c'est la chambre du tonton. La porte est mal fermée et de l'intérieur émanent comme des grognements étouffés. Je m’approche sans bruit. Une lampe de chevet diffuse une douce mais forte lumière. Ce que je vois là, dans l’entrebâillement de la porte me fait l’effet d’un coup de poing au ventre. Je reste interdit, tétanisé sur le palier, alors qu’une forte érection spontanée dresse ma bite. Je réalise mais n'en ai cure, que je suis à poil avec simplement un teeshirt en guise de pyjama. Marion, qui a passé une chemise de nuit, est assise sur le bord du lit tout près du vieux, à sa gauche, lui faisant face de trois-quarts. Assis, adossé contre des oreillers à la tête de lit, il a une main qui disparaît sous la chemise de nuit. Cette main je la devine sans aucun doute, glissée entre ses cuisses et au contact de sa chatte. Marion a replié sa jambe gauche sur le lit, certainement pour ouvrir son intimité à la main fouineuse. Les yeux fermés la salope a le souffle court et se mord les lèvres pour contenir ses gémissements. Je distingue parfaitement le geste du bras qui avance et recule au rythme de la masturbation donnant naissance à un gargouillis qui ne laisse aucun doute que ma femme mouille. Par instants je la vois qui se retourne pour regarder la porte de la chambre derrière elle. Craint-elle que je sois là ? La scène est fantastique, ...
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