1. La folie du pleutre 15. Epilogue 4


    Datte: 07/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... une respiration saccadée preuve du degré de leur excitation. Soudain mon beau-père pousse la porte et pénètre dans la chambre. Il a pu voir Marion qui se laissait tripoter par le vieux et en même temps lui caressait la bite pour la sucer. Prise sur le fait, je devine la surprise et la panique de ma femme. Je me replie aussi vite dans ma chambre quand, par ma porte entre baillée, je les entends ressortir tous les deux alors que le vieux pousse des borborygmes de protestation, car on lui enlève sa belle, son joujou sexuel ! Mon beau-père la tient par la taille juste devant ma porte. Je peux voir les couilles de ce salaud que son caleçon assez grand et lâche, laisse dépasser dans l’entre-jambes. Marion est comme tétanisée. Elle reste plantée dans le couloir, les bras croisés sur sa poitrine qu’elle tente de dissimuler sous sa chemise de nuit au regard du pervers. Ce dernier a glissé sa main entre ses jambes et lui caresse le con. Loin de se refuser, elle se cambre pour avancer son ventre vers la main qui la fouille. Je l’entends qui lui murmure d'une voix autoritaire : - Tu mouilles petite pute. Salope, tu as envie de te faire baiser hein ? Ton con de mari ne te suffit pas. Je vais te baiser devant votre chambre. J’entends des gargouillis provoqués par la mouille qui doit couler de sa chatte, signe qu’elle est excitée et qu’elle aime se faire doigter par ce cochon, mon propre beau-père. La situation m’excite et comme d’habitude je bande sans avoir à me toucher. Les soupirs de ma ...
    ... femme et les paroles de ce pervers m’humilient et ajoutent à mon excitation. - Tu mouilles hein ! C’est le vieux que t’a excitée. Tu es une perverse de te laisser tripoter par ce vieil impotent. Un peu plus et tu lui suçais sa petite bite toute ramollie. En disant cela il lui enlève sa chemise de nuit en la faisant passer par dessus la tête. Elle est nue maintenant entre ses mains. Il baisse son caleçon lui découvrant sa bite toute droite et le gland décalotté tout suintant de sa propre mouille. Marion baisse les yeux et mate l'engin dressé devant son ventre. Elle ne tente aucun refus ni se révolte. Au contraire elle est comme tétanisée devant cette queue énorme. Il lui prend la main et la pose sur sa tige. Sans hésiter elle l’enferme entre ses doigts et commence une lente masturbation. - Oui ! C’est ça, c’est bon. Tripote moi la queue petite pute. Tu sens comme elle est grosse ? Ce n’est pas ton con de mari qui pourrait t’en offrir une aussi belle. Et ma petite femme s'exécute avec application. Elle a à cet instant le regard d'une possédée du démon. Je ne lui connais pas ce visage, déformé par l'excitation. Je suis catastrophé de voir avec quel naturel elle branle mon beau-père, qui est en même temps le sien, alors que je suis censé dormir à quelques pas de là. Il continue à lui branler la chatte, leurs bras se croisant entre leurs corps serrés. De son autre main, il la saisit derrière la nuque et attire à lui son visage pour l’embrasser bouche ouverte. Bien entendu Marion, ...
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