1. Kevin (avant-dernière partie)


    Datte: 21/06/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Kevin (avant-dernière partie)- Coucou, belle-mère !Je sursautai en entendant Kevin. Je ne l’avais pas entendu arriver, et même, je ne l’attendais pas si tôt, dans la matinée. J’étais en train de mettre une lessive dans la machine à laver, dans la petite buanderie de notre appartement. Je portais une nuisette bleue, aux motifs floraux noirs, pas spécialement sexy mais dans laquelle je me sens très à l’aise, surtout qu’il faisait une chaleur infernale, dans cette pièce de la maison. Je pouvais sentir ma transpiration ruisseler entre mes seins, mes aisselles étaient moites et mon minou en feu.Comme j’étais accroupie, ma nuisette remontait jusqu’à en haut de mes cuisses, laissant, si on regardait à ras le sol, ma foufounette à découvert. Je me suis levée, la tirai vers le bas et lui répondis :- Te voilà, donc…- Tu ne m’embrasses pas ?- Oui, tu as raison…Je lui offris ma joue, mais il m’embrassa sur les lèvres. Je le poussai, un peu trop théâtralement.- Tu n’avais pas envie de me revoir ?- Non, mentis-je- Moi, si… Tu n’as pas aimé mon dernier mail ?- Non… c’était déguelasse, mentis-je une deuxième fois.Il s’approcha de moi, avec une assurance qu’il n’avait pas quelques semaines auparavant. Je sentis un troublant mélange de peur et d’excitation. Je fis un pas en arrière et mis mes deux mains devant moi, lui indiquant qu’il ne devait pas s’approcher davantage. Il m’observait :- J’adore ce vernis à ongles ! ça te va à ravir ! Et, en fixant mes pieds, il ajouta, Waouh, les pieds, ...
    ... aussi !Mon mari avait été surpris qu’en me levant, après avoir bu mon café, je me sois mise à me faire les ongles et les orteils et à les vernir d’une couleur épatante, orange mandarine. La soirée passée attachée au lit et les cochonneries qu’il m’avait faites, tout m’avait laissé dans un état d’épuisement heureux. Et certaines parts de mon corps un peu douloureuses : les tétons, qu’il avait tortillé sans modération ; ma petite chatte, qu’il avait écartée et fistée comme jamais ne l’avait-il pas fait avant ; et, surtout, mon petit trou, qu’il avait dilaté à l’extrême pour pouvoir m’y enfoncer toute sa main.- Merci, Kevin… Mais, maintenant, va rejoindre ton père…- Il est parti…- Comment ?- Il est descendu acheter le pain et je ne sais pas quoi d’autre.- Descends quand même, je te dis- Il m’a dit qu’il fallait que je monte te voir…Que je me montre très gentil avec toi…- Et ça ? Tu inventes, là…- Nan ! il m’a dit que tu n’étais pas trop contente de ma visite…- Ça, c’est vrai…- Maintenant, c’est toi qui inventes…C’est moi qui fis le geste de m’en aller. Mais il se planta devant la porte. J’étais assez choquée. J’avais en face de moi un garçon d’à peine 17 ans qui se comportait comme un mâle adulte. Je vis dans ses yeux une lueur que je reconnus tout de suite ; celle du désir. Il fixait ma poitrine, le début de mon décolleté, trempé de sueur ; mes tétons durcis par l’effervescence de son regard. Et, une chose qu’il ne pouvait pas voir mais que j’éprouvais à pleine conscience : ma ...
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